Ces directives ont pour but de clarifier les caractéristiques et les prérequis permettant de classifier un système photovoltaïque dans la catégorie « agrivoltaïque ». Elles concernent la conception, la construction et l’exploitation des installations et distinguent les systèmes basiques proposant seulement de coupler la production d’énergie et la production agricole et les systèmes avancés, qui pourront bénéficier d’incitations.
Le projet Sènècoura vise à contribuer à l’amélioration des conditions de vie de 120 femmes et de leurs familles issues de 8 villages, grâce à une parcelle mise à disposition pour des activités agricoles. D’ici à 2025, 11 puits seront construits, autour d’un château d’eau, et un système d’irrigation et de pompage solaire sera mis en place.
Après avoir battu un record d’installation en 2021 avec 27 GW, environ 39 GW d’énergie solaire supplémentaire dans l’UE devraient être déployées avant la fin de l’année. Il s’agit d’une réévaluation des prévisions de l’association, qui tablait précédemment sur 29,9 GW de capacités solaires nouvellement installées en 2022.
L’accord prévoit dans un premier temps l’acquisition d’un portefeuille de 236 MW au travers d’une joint venture. Par la suite, les deux acteurs ont l’ambition de développer conjointement jusqu’à 1 GW de projets photovoltaïques en France, Belgique et Luxembourg d’ici 2030. Ces projets pourront être couplés à des solutions de stockage comme des batteries afin d’optimiser leur performance et leur contribution au mix électrique.
La filière éolienne terrestre contribue majoritairement à cette recette, à hauteur de 7,6 Md€. La filière photovoltaïque continue quant à elle de peser marginalement sur les charges de service public à hauteur de 0,9 Md€ cumulé.
Solar Cloth développe des modules photovoltaïques flexibles à partir de cellules CIGS (cuivre, indium, gallium et sélénium), sans verre et présentant une emprunte carbone près de 50 % inférieur au silicium, selon son président-fondateur Alain Janet avec qui pv magazine France s’est entretenu. L’occasion aussi de faire le point sur le projet de création d’une ligne de production de cellules CIGS en France en 2023 et les contrats de la société sur des applications innovantes en VIPV et en agrivoltaïsme notamment.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur la manière dont les systèmes photovoltaïques verticaux pourraient être en mesure de fournir davantage d’électricité au réseau en période de forte demande, avec l’avantage d’être mieux intégrés aux activités agricoles que les centrales au sol classiques.
Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.
Après avoir enregistré une très forte croissance ces dernières années, l’entreprise basée dans les Hauts-de-France concentre son développement notamment sur l’international et sur le renforcement de son activité dans les hangars et les toitures agricoles.
Les nouvelles dispositions font partie de la nouvelle version de la loi sur les énergies renouvelables du pays, qui a été approuvée le 7 juillet par le Parlement allemand.
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