Sept zones ont déjà été identifiées par TSE sur le territoire de la coopérative qui compte 8 200 agriculteurs partenaires, répartis sur 160 silos. Les premiers projets se feront dans les Hauts-de-France et en Seine-Maritime.
D’une durée de 20 ans, le contrat repose sur l’achat d’électricité produite par deux centrales solaires qui seront construites sur du foncier dégradé : l’une de 25 MWc en Haute-Marne, dont la mise en service est prévue fin 2024, et l’autre dans la Manche d’une puissance de 6 MWc, qui sera opérationnelle en 2027.
Spécialisée dans les tomates, les fraises et les mini-poivrons, la coopérative agricole couvre 15 % de sa consommation électrique estivale et 60 % de sa consommation hivernale grâce à quatre trackers d’une puissance unitaire de 22 kWc.
Le développeur Terre et Lac Solaire veut rapprocher l’énergie solaire des territoires. Pour pv magazine, son directeur général Sébastien Fenet, a retracé l’histoire du groupe lyonnais, de son positionnement sur la toiture agricole à sa diversification dans la Vallée de la Chimie. Aujourd’hui Terre et Lac mise sur le “partage équitable de la valeur” et l’implication d’acteurs locaux dans ses projets solaires. En février dernier il a créé Oxyane Solaire avec la coopérative agricole Oxyane pour accompagner les agriculteurs dans le développement du photovoltaïque sur hangar.
Le spécialiste de l’installation et de la maintenance de centrales solaires a annoncé avoir fait l’acquisition de Terrena Innovation et Inovia, les filiales de Terrena dédiées au photovoltaïque.
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