Si le Maroc se rêve en fournisseur de l’Europe d’énergie solaire et d’hydrogène vert, il veut aussi constituer une base de fabricants exportateurs de matériels dans le secteur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Pour cela, les candidats à l’export sont accompagnés par « Export Morocco Now », un nouveau programme pour les soutenir dans leur recherche de donneurs d’ordre à l’international.
Le projet Antípodas a été annoncé par le gouvernement chilien la semaine dernière. Il vise à tirer parti de l’énorme potentiel solaire du désert d’Atacama, qui est la région du monde où le rayonnement solaire est le plus élevé.
La semaine dernière, les think tank Sandbag et Agora Energiewende montraient que les énergies renouvelables avaient généré plus d’électricité que les centrales au charbon, entrainant une baisse de 12 % des émissions de CO2 du secteur de l’énergie en 2019. Qu’en est-il en France ? Dans son bilan électrique annuel, RTE nous montre que les émissions de CO2 ont baissé de 6 %, notamment grâce au recul de 71,9 % de la production des centrales à charbon. Si les productions nucléaire et hydraulique ont également connu une baisse, celles des énergies solaire et éolienne sont fortement en hausse.
Le rôle du fédérateur est de structurer et de promouvoir la filière des énergies renouvelables à l’export. C’est Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables, qui occupera ce poste.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.