Lors du 6e colloque annuel photovoltaïque du Syndicat des énergies renouvelables (SER), la semaine dernière, la question de la relocalisation de l’industrie solaire a été à l’honneur, dans le droit fil du plan de relance français. Faut-il écrire localisation d’ailleurs, tant le paysage s’est effrité, suite à la montée en force des usines asiatiques ? C’est aussi la question qui a été posée.
En France, des chercheurs ont tenté de prédire la compétitivité des modules photovoltaïques en tandem par rapport aux produits cristallins commerciaux en 2030. Selon les chercheurs, les produits cristallins auront un rendement de 22% à 24% dans une décennie, voire de 25% si les versions à hétérojonction par contact arrière interdigité deviennent courantes. Pour être compétitifs, les dispositifs en tandem devront offrir des durées de vie et des taux de dégradation similaires, avec en plus des rendements de 30%.
En complément des mesures de soutien aux entreprises et aux organismes de recherche mises en place pendant les premières semaines de la crise, le gouvernement a annoncé hier jeudi, la mobilisation de plusieurs dispositifs du Programme d’investissements d’avenir (PIA) pour appuyer la reprise économique. Quelque 550 millions d’euros sont engagés pour soutenir la transformation de l’appareil productif et développer de nouvelles solutions pour l’industrie et la transition énergétique.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.