Deux chercheurs français ont mené une analyse sur la compétitivité du dessalement de l’eau, en prenant comme cas d’étude un projet à grande échelle prévu au Maroc. Leurs travaux montrent que le PV sans stockage est l’option la moins chère pour alimenter les dessalinisateurs, et qu’il le restera probablement jusqu’en 2030.
L’Agence Marocaine pour l’Energie Durable a commencé le processus de préqualification des développeurs pour la première phase du projet solaire Noor PV II.
Situé sur le site industriel de STMicroelectronics à Bouskoura, le parc photovoltaïque recouvre une surface de 4 000 m2 et dispose d’une puissance installée de 672 kWc, dont la production sera autoconsommée.
Une étude de l’institut allemand Fraunhofer ISI montre que, d’ici 2050, le Maroc pourrait couvrir entre 2 et 4 % de la demande mondiale de vecteurs d’énergie Power-to-X. Cependant, les chercheurs mettent en garde contre l’augmentation de la consommation de terres, d’eau et de ressources lors de la mise en place de très grandes capacités de Power-to-X.
Dans le cadre de la compétition Solar Decathlon Africa 2019, 18 maisons ont été conçues et construites en l’espace de 18 mois par des équipes d’étudiants. Exclusivement alimentées par l’énergie solaire, ces maisons doivent montrer leurs performances sur le plan énergétique et de développement durable, en conciliant une architecture moderne et inspirée de l’héritage africain. Les projets les plus aboutis en termes d’ingénierie et d’innovation ont été désignés.
EDF collabore à nouveau avec l’opérateur d’Abu Dhabi, Masdar. Les deux sociétés vont créer une co-entreprise paritaire dans le but d’offrir des services énergétiques et de développer des projets d’énergies renouvelables.
Le deuxième installateur du photovoltaïque en France continue sa croissance et franchit un nouveau record en termes de volume de centrales d’énergie renouvelable sous construction.
L’Agence marocaine pour l’énergie durable (Masen) a publié un appel à pré-qualification (RfQ) pour le projet Noor Midelt II, un complexe solaire intégrant des éléments solaires à concentration et photovoltaïques.
Le consortium, qui comprend Masdar, basé aux Émirats arabes unis, et le producteur d’énergie indépendant marocain Green of Africa, prévoit de commencer les travaux de construction d’ici la fin de l’année. Le projet fait partie de ceux réalisés par l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN) dans le cadre du plan solaire Noor, dont le but est de développer une capacité de 2 GW d’ici 2020.
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