Les chercheurs du National Renewable Energy Laboratory (NREL) ont modélisé des voies viables pour fournir la capacité estimée à 60 TW nécessaire à la décarbonation.
Située dans le désert chilien d’Acatama, la centrale solaire de Coya dotée d’une capacité de production de 235 MWc permet de fournir de l’énergie verte à 73 000 foyers dans le pays. En outre, un système de stockage basé sur des batteries de 638 MWh, sera construit dans le parc, ce qui permettra d’accroître l’efficacité et la flexibilité du système.
A l’occasion de la visite diplomatique de son président Shavkat Mirziyoyev, Voltalia a signé un accord pour co-développer une centrale avec 200 MW de photovoltaïque, 200 MW d’éolien et 60 MW / 240 MWh de stockage dans le pays d’ici 2026. De leur côté, l’Agence français de développement (AFD) et la Sanoat Qurilish Bank (SQB) ont signé un accord de financement de 30 millions d’euros pour encourager des investissements en faveur du climat dans le pays.
Aux Etats-Unis, le National Renewable Energy Laboratory (NREL) étudie la complexité de différentes voies technologiques permettant d’atteindre une électricité 100 % zéro émission aux États-Unis, qui incluent l’installation d’ici à 2035 de 540 GWac à 1 TWac d’énergie solaire dans le pays.
Avec l’arrivée de ces deux partenaires, l’objectif pour la branche renouvelable de l’Espagnol Repsol est de poursuivre son plan stratégique visant à augmenter sa capacité totale installée pour atteindre 20 GW d’ici à 2030. L’entreprise dispose actuellement d’un portefeuille de plus de 1,6 GW de capacité installée en Espagne, aux États-Unis, au Chili et au Portugal.
Des universitaires du Danemark et de Berlin ont calculé que l’Europe aura besoin de 400 GW de nouvelles installations solaires et éoliennes par an entre 2025 et 2035 pour contribuer à limiter la hausse de la température mondiale à 1,5°C, conformément à l’Accord de Paris.
Le géant américain du e-commerce, qui a l’intention d’alimenter 100 % de ses opérations en énergies renouvelables d’ici à 2025, lance 37 nouveaux projets solaires et éoliens dans le monde, répartis notamment entre la France, l’Espagne, les Etats-Unis et le Moyen-Orient.
Jean Lassalle, du parti Résistons !, prône un investissement dans les énergies marines et le photovoltaïque, mais veut stopper l’éolien. Sa politique énergétique repose avant tout sur le développement du nucléaire de 4e génération et sur la fusion.
Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 « sans hausse d’impôt », la candidate des Républicains veut mettre en place une politique énergétique axée sur la production électrique nucléaire. Les énergies renouvelables ne sont évoquées que pour les dispositifs de production de chaleur (géothermie, biomasse, déchets) et le développement éolien sera soumis à l’adhésion des populations. Valérie Pécresse met sur la table une enveloppe de 120 milliards d’euros pour la transition écologique qui comprend notamment l’électrification des transports particuliers et la rénovation énergétique des bâtiments.
Pour la candidate de Lutte Ouvrière, les stratégies environnementales sont aujourd’hui dans l’impasse du fait de « la mainmise sur l’économie des grands groupes capitalistes ». Son programme propose donc la reprise en main par les travailleurs du système économique afin de traiter les questions énergétiques et écologiques dans l’intérêt de tous. En opposition profonde avec le système gouvernemental, Nathalie Arthaud ne formule à ce stade aucune mesure concrète sur la politique énergétique. Elle entend toutefois mettre en place une « économie rationnelle, concertée et planifiée, à l’échelle de la planète » en « enlevant aux groupes privés la direction de l’industrie et des transports ».
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