D’ici à 2026, les deux acteurs s’engagent à mettre en service 14 centrales solaires photovoltaïques, venant s’ajouter à quatre déjà en production. Situées sur des parcelles ou des installations de stockage de déchets qui ne sont plus exploitées, elles représenteront une puissance cumulée de près de 180 MWc.
A l’occasion de la sortie du décret sur l’agrivoltaïsme, pv magazine France est revenu avec Nicolas Ferras, directeur Agri-énergies de TotalEnergies, sur le développement de l’énergéticien dans ce secteur et sur l’intégration d’Ombrea qui lui a permis de constituer un pôle de compétences, en particulier dans la gestion des données et des algorithmes.
Le premier est prévu au nord-est de Madrid, pour une capacité de 6 MWc. L’autre projet baptisé “Sant Fruitós” d’une puissance de 3 MWc se trouve dans la province de Barcelone. L’entreprise, active dans l’éolien et la biomasse, attend les permis de construire pour démarrer les travaux.
D’un coût total de 7,2 millions d’euros, le “projet B” comprend, outre le parc solaire, la construction d’une route d’accès et d’une ligne de transmission électrique basse tension. Il vise à augmenter la part du photovoltaïque dans le mix de production de la Tunisie, tout en créant des emplois locaux.
La plupart des acteurs de la filière se disent satisfaits de ce premier cadre réglementaire qui va permettre de constituer un référentiel commun entre agriculteurs, développeurs et services de l’Etat. Ils rappellent toutefois que de nombreux points restent à préciser, notamment en matière de contrôles et d’élevage.
Après de longs mois d’attente, le décret sur l’agrivoltaïsme a été publié ce 9 avril au Journal officiel. Comme attendu, il précise notamment les conditions d’implantation de panneaux photovoltaïques sur les surfaces agricoles en tenant compte du taux de couverture et de la perte de rendement agricole acceptable. Toutefois, de nombreuses dispositions réglementaires sont encore attendues, notamment la liste des technologies dites éprouvées qui doit encore être finalisée.
A partir de fin 2025, l’énergéticien français disposera d’une capacité de stockage de 50 MW/150 MWh pour apporter des services d’équilibrage au réseau national et européen.
La commune de Marseillan dans l’Hérault veut installer 8 à 9 MWc d’énergie solaire pour produire 100 % de l’équivalent de sa consommation électrique d’ici 10 ans. Elle s’est pour cela adjoint l’expertise du producteur d’électricité Watteos, dans le cadre de la création d’une co-entreprise.
La centrale photovoltaïque valorise une ancienne décharge municipale d’ordures ménagères. L’investissement est évalué à environ 8,8 millions d’euros, dont 1,6 million d’euros a été apporté par 200 investisseurs lors d’une collecte participative achevée en mars 2024.
A ce jour, 29 entreprises – développeurs solaires et grands donneurs d’ordres – ont signé le pacte solaire présenté le 5 avril. A ce titre, elles s’engagent à acheter à partir de 2025 au minimum 30 % de panneaux photovoltaïques auprès de fabricants ayant réalisé une ou plusieurs étapes de production en Europe. Ces produits seront identifiés par un « InduScore », semblable au Nutriscore de l’agroalimentaire.
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