Au Royaume-Uni, des scientifiques ont simulé une façon d’utiliser une installation d’agrivoltaïsme hors réseau de 1 GW pour alimenter des véhicules électriques à pile à combustible à hydrogène en Australie, en Californie, en Chine, au Nigéria et en Espagne. Leur analyse technico-économique a montré que la combinaison proposée pouvait fournir un coût actualisé de l’hydrogène (LCOH) compris entre 3,71 et 7,73 €/kg.
La deuxième enchère de la Commission européenne alloue 1,2 milliard d’euros (1,3 milliard de dollars) pour des projets soutenant la production d’hydrogène renouvelable, dont 200 millions d’euros sont réservés aux projets avec des preneurs dans le secteur maritime. Les soumissions sont ouvertes jusqu’au 20 février 2025.
Selon l’institut pour les études énergétiques d’Oxford, s’atteler aux fuites d’hydrogène tout au long de la chaîne d’approvisionnement est indispensable pour faire de ce combustible un vecteur énergétique pérenne. Dans le même temps, l’Italie a dévoilé sa stratégie nationale en matière d’hydrogène, en insistant sur son rôle dans la région méditerranéenne.
Le nouvel électrolyseur est conçu pour égaler les performances des électrolyseurs PEM existants. Son catalyseur anodique est constitué de composés peu coûteux d’hydroxyde double de nickel avec du fer, du cobalt ou du manganèse.
En attendant la publication prochaine des projets de PPE et de SNBC, le Syndicat des énergies renouvelables revient sur l’adoption par le Sénat d’une proposition de loi de programmation (PPL) qui préfigure ce qui pourrait se trouver dans la PPE. Si le SER se réjouit de la mention des énergies renouvelables dans le texte, il y voit aussi certaines dispositions “problématiques”.
D’une surface totale de 11 hectares, le projet porte sur la mise en oeuvre d’un électrolyseur d’une puissance de 5 MW, qui produira jusqu’à 2 tonnes d’hydrogène par jour, et d’une installation agrivoltaïque d’une capacité de 7 MWc qui fournira une partie des besoins en électricité.
Alors que différentes institutions plaident en faveur de la production d’hydrogène en mer ou à proximité des côtes, la Commission européenne se prépare à avancer avec sa deuxième enchère d’hydrogène.
La jeune société s’est créée en 2021 avec l’objectif de développer des centrales de production d’hydrogène vert sur un modèle semi-centralisé, avec des électrolyseurs de taille industrielle d’environ 10 MW de puissance. Plusieurs de ses projets actuellement en cours comprennent un couplage direct avec des centrales agrivoltaïques pour sécuriser le prix de l’électricité sur le très long terme.
Le gouvernement tunisien a signé plusieurs protocoles d’accord avec des acteurs du secteur pour développer 1 GW d’énergie éolienne, 500 MW d’énergie photovoltaïque et 800 MW d’électrolyseurs pouvant produire jusqu’à 65.000 tonnes d’hydrogène vert, principalement destiné à l’exportation vers l’Europe.
Emerton, société de conseil en stratégie, a analysé la structuration des chaînes mondiales d’approvisionnement en hydrogène en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. A la différence de l’Allemagne, les pouvoirs publics français portent encore trop peu de partenariats d’importation pour s’assurer de l’hydrogène vert à prix compétitif, comme l’expliquent Sébastien Zimmer et Haithem Choukatli, spécialistes de l’énergie au sein d’Emerton.
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