Des chercheurs européens ont conçu un système capable de collecter l’eau de pluie ruisselant sur des panneaux photovoltaïques, pour un usage domestique ou la production d’hydrogène. Leur étude montre que, dans le sud du Sahel, ce dispositif peut couvrir à la fois les besoins énergétiques et ceux en eau nécessaires à l’électrolyse, tout en fournissant jusqu’à 7 % des besoins quotidiens en eau d’un ménage.
Une équipe de chercheurs internationaux a créé un nouveau modèle permettant de déterminer le meilleur angle d’inclinaison pour les centrales photovoltaïques (PV) bifaciales orientées au sud à travers l’Europe. Les scientifiques ont également pris en compte la région alpine pour examiner l’impact des montagnes sur les angles d’inclinaison optimaux.
Des scientifiques ont testé les performances de panneaux photovoltaïques flottants à une hauteur de 800 mm et de 250 mm au-dessus de leurs structures flottantes. Leurs performances thermiques et électriques ont été comparées à celles d’un système terrestre de référence, et il a été constaté que le panneau le plus haut offrait le plus grand effet de refroidissement.
La société britannique indique que les nouveaux modules ont une puissance nominale de 445 W et peuvent garantir un rendement de 95 % après 10 ans.
Des scientifiques en Espagne ont étudié les interruptions totales ou partielles des rubans qui relient les cellules solaires dans les modules et ont proposé une classification basée sur leur type et leur emplacement.
Des chercheurs espagnols ont créé un nouvel indice qui aiderait les développeurs de projets à identifier les meilleures zones dès les premières étapes du développement des centrales hybrides éolien-solaire. L’approche proposée est censée éviter les lacunes des critères précédents et les surestimations causées par des délais temporels.
Le fabricant autrichien a lancé son premier système de batterie utilisant des cellules lithium-fer-phosphate (LFP). Le système permet de connecter jusqu’à quatre unités en parallèle pour une capacité de 63 kWh.
Une équipe de chercheurs en Algérie a conçu une nouvelle plateforme d’essai et une loi d’accélération novatrice prenant en compte à la fois la vitesse du vent et la densité du sable. La nouvelle méthodologie a été testée sur quatre modules photovoltaïques et a montré des durées de vie allant jusqu’à 47 ans en termes d’impact du sable.
Des scientifiques en Indonésie ont étudié les défauts opérationnels précoces d’un système photovoltaïque de 24,9 MW situé à Sumatra et ont identifié la formation de points chauds comme le principal défaut. Ils ont également détecté 282 cas de fissures sur le verre, 350 cas de défaillances de boîtiers de jonction et des effets d’ombrage liés à des défauts des modules.
Des scientifiques en Colombie ont créé un ensemble de données ouvertes sur 10 ans pour la détection de défauts des panneaux photovoltaïques. Les données ont été acquises à l’aide d’un système de charge électronique, d’un oscilloscope et d’une caméra thermographique dans des conditions environnementales extérieures.
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