L’Union européenne a introduit de nouvelles règles obligeant les États membres à intégrer des critères de durabilité et de résilience dans les appels d’offres pour les énergies renouvelables.
A 377 voix contre et 142 voix pour, l’Assemblée nationale a rejeté la proposition de loi portant programmation nationale pour l’énergie et le climat pour les années 2025 à 2035. Celle-ci prévoyait notamment un moratoire sur le développement des énergies éolienne et photovoltaïque et la relance du nucléaire. Les représentants de la filière des renouvelables se disent soulagés mais restent vigilants sur l’avenir énergétique de la France.
Moratoire sur l’éolien et le solaire, tentative d’exclusion des renouvelables de la définition des énergies décarbonées… Le texte de programmation énergétique, sévèrement amendé, sera solennellement voté mardi prochain à l’Assemblée nationale. Sans certitude sur son avenir, le gouvernement ayant déjà indiqué qu’il publierait la PPE par décret avant la fin de l’été, soit antérieurement à l’adoption définitive de la loi.
Instauré par la loi Énergie-Climat du 8 novembre 2019, le dispositif dit « bac à sable réglementaire » permet d’accorder des dérogations aux conditions d’accès et à l’utilisation des réseaux et installations pour déployer à titre expérimental des technologies ou des services innovants. Acciona, Elax Energie, EDF, Amarenco… l’organisme de régulation fait le point sur les projets en cours.
Pour instaurer la confiance du marché, notamment des énergies renouvelables, envers les certificats de qualification d’entreprise et dans le fonctionnement des organismes qui les délivrent, l’association Qualiconform a été mise en place au début de mois de juin.
L’autoconsommation collective continue sa marche en avant, le cap des 1 000 opérations en service ayant été largement dépassé à fin mai 2025, avec 1 114 communautés énergétiques recensées.
Dans le cadre du projet CNED, Atlansun lance un appel d’offres afin de sélectionner un prestataire pour réaliser une étude sur les besoins en compétences du secteur photovoltaïque en Bretagne. Cette étude a pour objectif d’identifier les métiers et compétences nécessaires à la filière, de cartographier les formations existantes et manquantes et de créer un outil numérique identifiant les carrières possibles dans le photovoltaïque. Les réponses sont à formuler avant le 07 juillet 2025.
La plateforme néerlandaise de vente de matériel photovoltaïque Search4Solar encourage activement les développeurs de projets, installateurs et autorités publiques à recourir à des modules photovoltaïques de seconde main. La société dispose actuellement d’un stock de plus de 100 000 panneaux usagés disponibles pour réemploi.
Le prix moyen de l’électricité sur l’ensemble du mois de mai a atteint 19€/MWh, du jamais vu depuis les mois d’avril et mai 2020. Le prix maximum quotidien constaté a été de 69 euros/MWh en moyenne, tandis que le prix minimum quotidien s’est élevé à -13 euros/MWh en moyenne.
Selon le SER, la production renouvelable s’est établie à 150 TWh (contre 135,6 TWh en 2023), cette hausse de la production étant principalement due à l’hydroélectricité (conditions d’hydraulicité particulièrement favorables en 2024) et au solaire (croissance des capacités installées).
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