La principale source de production du mois était le nucléaire (22,1 %), suivi de l’hydroélectrique (20,2 %), de l’éolien (17,3 %), du photovoltaïque (14 %) et du cycle combiné (13,8 %). De plus, 237 GWh ont été fournis aux installations de stockage et 1 214 GWh ont été programmés pour l’exportation d’énergie vers les pays voisins.
L’entreprise a conclu des accords pour lever 850 millions d’euros sécurisés via un placement privé. Cette somme sera complétée une émission de droits d’environ 1,35 milliard d’euros réalisée avant la fin du mois d’avril 2025. L’objectif est de financer ses investissements dans les infrastructures, garantissant la fiabilité du réseau et stimulant la compétitivité des énergies renouvelables.
Après trois ans d’existence, Volta Polska, filiale du producteur français d’énergies renouvelables Volta, inaugure sa première centrale photovoltaïque. Sa production de 15 MWc servira à alimenter en électricité verte un industriel de renommée mondiale dans la cadre d’un contrat d’achat direct.
Les nouvelles dispositions s’appliqueront à tous les systèmes photovoltaïques de plus de 2 kW dès la publication de la réglementation au journal officiel, ce qui devrait intervenir dans les semaines à venir.
La Cour des Comptes de France a lancé un avertissement concernant les coûts et la rentabilité des projets menés par EDF, notamment en se basant sur l’expérience de Flamanville 3. Elle exhorte l’entreprise à limiter son exposition financière dans les projets internationaux.
De nouvelles recherches menées en Suède ont montré que la mise en place de super-réseaux mondiaux sur différents continents ne se traduirait pas nécessairement par une augmentation des investissements dans l’énergie solaire. Les scientifiques ont mis en exergue le concept « One Sun One World One Grid » (OSOWOG), qui préconise le développement d’un super-réseau mondial couvrant 18 fuseaux horaires.
La toute première connexion au réseau d’un système hybride solaire-éolien en France a eu lieu en 2023. Cependant, depuis lors, l’hybridation de ces deux sources d’énergie ne semble pas susciter un engouement parmi les promoteurs et les investisseurs. Pourtant, des marchés comme l’Inde et le Brésil montrent que l’association du solaire et de l’éolien est non seulement techniquement et économiquement viable, mais permet également d’installer des volumes de capacité de production plus importants.
Tandis que le pays espère bientôt atteindre 4 GW de capacité photovoltaïque, grâce à des appels d’offres de grande ampleur, le solaire commercial et industriel (C&I) reste un secteur encore timide, du fait de l’absence de réglementation pour l’injection du surplus d’électricité sur le réseau.
L’énergie solaire et éolienne sont installées à un rythme cinq fois plus rapide que toutes les autres nouvelles sources d’électricité combinées. Cela constitue une preuve de marché convaincante que le photovoltaïque (PV) et l’éolien sont désormais les méthodes les plus compétitives et pratiques pour déployer une nouvelle capacité de production d’énergie.
Le gestionnaire de réseau électrique belge Elia a déclaré que l’énergie solaire était la principale source d’énergie renouvelable dans le mix électrique de la Belgique en 2024. La production totale d’énergie solaire dans le pays a atteint de nouveaux records l’année dernière, totalisant 8,3 TWh.