On connaît les ombrières photovoltaïques en structure acier, bois ou béton. Beaucoup moins celles en aluminium, matériau utilisé pour leur construction par Closura, concepteur et fabricant français de portails et d’abris extérieurs.
Solartag a développé une tuile solaire de 71 W, avec un poids de 14,2 kg/m² et un rendement de conversion de 16 %. Ce nouveau produit repose sur des cellules PERC noires et est standardisé pour une production en série, selon le fabricant.
Le groupe chinois produit du verre solaire reposant sur des cellules tellurure de cadmium (CdTe) et a lancé une ligne de production pilote pour la technologie pérovskite. Il se positionne en fournisseur pour des entreprises du photovoltaïque intégré au bâtiment (BIPV).
L’étude réalisée par le CEA et 3Sun sur le vieillissement en extérieur des cellules solaires tandem pérovskite-sur-silicium tend à prouver leur bonne résistance par rapports aux éléments.
La nouvelle centrale de 300 kWc à Rosières en Haute-Loire, conçue avec un système de fixation en bois local, combine une opération d’autoconsommation collective qui valorise environ 10 % de sa production auprès des acteurs publics locaux et la vente du surplus au fournisseur vert alternatif Energie d’ici qui achète l’énergie dans la monnaie locale, le LIEN.
La start-up suisse Sun-Ways annonce avoir activé ce qu’elle appelle la première centrale solaire amovible au monde sur des voies ferrées actives, avec des trains de voyageurs qui devraient circuler sur l’installation de 18 kW à partir du 28 avril.
Des scientifiques ont testé les performances de panneaux photovoltaïques flottants à une hauteur de 800 mm et de 250 mm au-dessus de leurs structures flottantes. Leurs performances thermiques et électriques ont été comparées à celles d’un système terrestre de référence, et il a été constaté que le panneau le plus haut offrait le plus grand effet de refroidissement.
Des chercheurs de l’institut allemand Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire travaillent à la réduction de l’utilisation de l’argent dans les dispositifs photovoltaïques à hétérojonction dans le cadre d’un vaste projet de recherche. Parmi leurs récentes réalisations figure la fabrication d’une cellule à hétérojonction nécessitant une consommation minimale d’argent de seulement 1,4 mg par watt.
L’institut de recherche français a découvert que passer d’une métallisation des cellules à base d’argent à une métallisation argent-cuivre permet de diminuer la quantité totale d’argent dans un module à hétérojonction, avec une quantité totale d’argent requise de seulement 14 mgAg/W. Leur technique d’interconnexion repose sur des adhésifs électroconducteurs à faible teneur en argent et des rubans de cuivre.
Des scientifiques allemands estiment que la production d’énergie pour les futures bases lunaires pourrait être assurée par la fabrication locale de cellules à pérovskite halogénée, en utilisant du verre lunaire à base de régolithe.
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