Agrivoltaïsme

Alors que 2025 se termine, tournons-nous vers 2026 et les défis qui attendent la filière solaire : baisse des soutiens publics, nouvelles périodes d’appels d’offres, déploiement du stockage et de la flexibilité. Lors du dernier salon Energaïa, tous les acteurs ont répondu présents et ont su montrer à quel point les entreprises sont innovantes, dynamiques et résilientes. De quoi espérer des lendemains qui chantent…

Alors que la Tunisie mise sur le solaire pour réduire sa dépendance énergétique, deux modèles s’opposent : une multitude de petites centrales ou quelques grands projets industriels, pensés aussi pour l’hydrogène vert. Sur le terrain, cette transition est avant tout une affaire économique, comme nous le montre le dernier volet de notre série sur le pays.

Lors de l’enchère FerX « anti-Chine », seuls deux installations parmi les lauréates dépassent les 100 MW de puissance : 180 MW pour la société londonienne Alta Capital et 108 MW pour l’espagnole Zelestra, toutes deux en Sicile. Analyse des résultats publiés par le GSE.

Virya Energy s’appuiera sur l’équipe locale de BayWa re au Japon afin de renforcer sa position sur le marché lucratif japonais des contrats d’achat d’électricité (PPA). L’entreprise belge comptera également sur sa filiale asiatique, Constant Energy, dont le siège est en Thaïlande.

Malgré un contexte politique incertain pour les énergies renouvelables, le salon Energaïa à Montpellier a accueilli 551 exposants et 22 500 professionnels, témoignant du dynamisme de la filière. Mais entre la publication de la Programmation pluriannuelle de l’énergie, attendue depuis trois ans, le ralentissement dans le solaire résidentiel et les défis à venir, l’année 2026 risque d’être plus incertaine.

Le stockage s’impose plus que jamais comme le sujet clé du photovoltaïque en 2026. Le salon EnerGaïa, qui ouvre ses portes à Montpellier, en fait le fil rouge de sa 19ᵉ édition, aux côtés d’un autre enjeu devenu stratégique : l’adhésion des territoires aux projets d’énergies renouvelables. pv magazine France est bien sûr présent sur le salon et dévoile son magazine consacré à l’agrivoltaïsme.

L’IPP français annonce la clôture d’un financement de projet de 106 millions d’euros pour la construction d’un portefeuille de 120 MW. Cette opération combine des projets bénéficiant du complément de rémunération de la CRE et des contrats d’achat d’électricité (PPA), dont un tiers de la production sera fourni à STMicroelectronics.

Selon le Service des données et études statistiques (SDES), la puissance du parc solaire photovoltaïque atteint 29,7 GW au 30 septembre 2025.

Avec une dette record de 430 millions d’euros couvrant 427 MW de projets éoliens et solaires, soit près de 70 % de sa capacité installée, JPee accélère son développement conformément à sa stratégie mêlant diversification, internationalisation et croissance externe.

Calycé et CalyWattSol passent à la vitesse supérieure : ils fusionnent pour créer Calycé Sun, une co-entreprise dans l’agrivoltaïsme, afin pour but de mettre en commun leurs expertises et leurs ancrages territoriaux.