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Le groupe norvégien, qui avait une filiale en France (anciennement In Sun we Trust), a annoncé la suppression d’environ 170 postes pour faire face à « la crise du solaire résidentiel en Europe ».

Le contrat d’achat d’électricité, d’une durée de quatre ans, démarrera fin 2026. Selon ses termes, le Français fournira 50 % de la production de son futur parc solaire de Culcairn (440 MWc / 350 MWac) au distributeur régional SmartestEnergy.

La jeune société s’est créée en 2021 avec l’objectif de développer des centrales de production d’hydrogène vert sur un modèle semi-centralisé, avec des électrolyseurs de taille industrielle d’environ 10 MW de puissance. Plusieurs de ses projets actuellement en cours comprennent un couplage direct avec des centrales agrivoltaïques pour sécuriser le prix de l’électricité sur le très long terme.

Avec l’installation de 3 000 panneaux solaires en toiture de bâtiment ou en ombrières de parking, le site industriel USIN Lyon Parilly, à Vénissieux, produira d’ici deux ans jusqu’à 1 300 MWh d’électricité par an en autoconsommation collective.

Via ce premier CPPA contractualisé avec TSE, Albéa sécurisera plus de 20% son approvisionnement en électricité renouvelable pour tous ses sites de production en France.

Émeraude Solaire a remporté l’appel d’offres pour la conception et la réalisation d’ombrières photovoltaïques couplées à l’installation de 20 bornes de recharge sur le parking du siège national de l’Agence de la transition écologique, à Angers (49). La mise en service est prévue au premier trimestre 2025.

Dans un rapport publié le 11 septembre dernier, un comité mandaté par l’ONU a formulé des recommandations pour améliorer la gestion de l’extraction et du cycle de vie des matériaux critiques pour la transition énergétique mondiale et souligné que « sans une gestion appropriée, la demande accrue de ces minéraux risque de perpétuer la dépendance à l’égard des matières premières, d’exacerber les tensions géopolitiques et de poser des problèmes sur l’environnement, la santé, la sécurité humaine et les droits de l’homme. »

Développeur de projets solaires, le groupe Idex s’est vu confier par ESR, troisième plus grand gestionnaire d’investissements immobiliers cotés au monde, la réalisation, à Amiens Saint-Sauveur (80), de deux centrales photovoltaïques : l’une en toiture de bâtiment logistique, l’autre en ombrières de parking.

Le projet solaire de Cottam a été approuvé par les autorités britanniques dans le cadre de la procédure nationale d’autorisation des infrastructures. Il s’agit du quatrième grand projet solaire à obtenir un approbation en l’espace de trois mois.

Spécialisée dans le déploiement de réseaux numériques et d’énergies, le groupe Ensio renforce sa présence sur le marché français du photovoltaïque en lançant sa nouvelle marque, Ensio Solaire.