Afin de réduire les dépenses publiques induites par l’arrêté S21, la DGEC propose soit de passer le guichet ouvert jusqu’à 500 kWc en guichet fermé, soit d’abaisser le seuil d’éligibilité de l’arrêté tarifaire à 100 kWc. Les syndicats Enerplan et SER sont vent debout contre cette proposition qui illustre à nouveau les contradictions du gouvernement envers le photovoltaïque et les renouvelables en général.
Pour parvenir à décarboner le continent européen avant 2050, la liste de la majorité présidentielle met l’accent sur le nucléaire, qui doit tripler sa production d’ici à 2050, et qui est vu comme une filière industrielle à développer. Le programme est en revanche moins-disant sur les objectifs en termes de renouvelables.
Sans surprise, aucun des partis écologistes en lice ne fait l’impasse sur l’énergie dans son programme. Toutefois, si la sortie des énergies fossiles fait l’unanimité, les moyens pour y parvenir divergent. En particulier, on observe une frontière poreuse entre énergies renouvelables et nucléaire, sauf chez Europe Ecologie les Verts (EELV) qui maintient son opposition farouche à l’atome et qui privilégie un mix 100 % renouvelable.
Dans le contexte géopolitique actuel, les élections européennes de 2024 revêtent une importance cruciale pour la poursuite des objectifs et des actions du continent en faveur de la décarbonation et de la souveraineté industrielle. Jusqu’au 9 juin, pv magazine France lance donc une série pour décrypter le programme énergétique des différentes familles politiques.
La deuxième phase du programme irlandais de soutien à la production d’électricité renouvelable à petite échelle (SRESS) s’adresse aux communautés locales et aux petites et moyennes entreprises qui produisent leur propre électricité.
Un arrêté paru au Journal officiel du 26 mai 2024 stipule que les surfaces agricoles en agrivoltaïsme pourront continuer à toucher les aides de la politique agricole commune (PAC). Une bonne nouvelle pour la filière.
Pour atteindre les objectifs de la loi pour l’électricité, à savoir une production d’électricité photovoltaïque d’environ 30 TWh/an, la filière du PV suisse aura besoin de 20 000 équivalents plein temps en 2035, contre environ 11 000 aujourd’hui.
Alors que l’agrivoltaïsme connaît de plus en plus de critiques en France et que le décret est paru le mois dernier pour poser de premiers jalons, pv magazine France s’est entretenu avec Antoine Nogier, président de Sun’Agri, pour discuter de la question de l’acceptabilité de cette pratique qui doit garantir un prix stable du foncier et un juste partage de la valeur entre l’agriculteur, le producteur d’énergie mais aussi tout le territoire.
L’administration du président américain Joe Biden a relevé de 25 à 50 % les droits de douane sur les importations de cellules photovoltaïques en provenance de Chine. Elle a également augmenté les droits de douane sur les semi-conducteurs, les véhicules électriques et les batteries de véhicules électriques en provenance de Chine, entre autres.
Le pays qui veut porter la part des énergies renouvelables dans son mix de production à 35 % d’ici à 2030, a également lancé une nouvelle enchère de 1,1 GW de PV et de 600 MW d’éolien. La date butoir de la première période pour le solaire est établie au 30 mai 2024.
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