Le fabricant français de modules solaires CIGS cherche à développer une solution colorée pour élargir son offre de modules CIGS flexibles. Il étudie notamment les technologies développées par l’institut Fraunhofer, la société allemande Lenzing Plastics et l’entreprise suisse Solaxess.
L’usine de Valence peut produire 150 millions de cm² de surface active de modules OPV grâce à sa technologie d’impression jet d’encre avec l’objectif de multiplier par quatre sa capacité d’ici 2026. Sensibles à la lumière naturelle et artificielle, les modules de Dracula fonctionnent à l’intérieur à partir de n’importe quelle source de lumière et sont destinés à des usages dans l’IoT, l’électronique industrielle et pour remplacer les piles.
L’institut de recherche allemand a utilisé une méthode de fabrication hybride pour déposer la pérovskite solaire sur le dispositif photovoltaïque de la partie supérieure de la cellule, basée sur une technologie d’hétérojonction de silicium texturée de manière industrielle. Une cellule solaire standard en silicium a été utilisée pour la sous-cellule inférieure.
En partenariat avec l’Italien 3SUN, le centre de recherche solaire du CEA certifie un nouveau record pour une cellule photovoltaïque de nouvelle génération tandem pérovskite sur silicium de 9 cm² après correction d’ombrage. L’INES atteignait 28,7 % en juin dernier pour des dispositifs similaires.
En utilisant des microscopes électroniques à transmission pour suivre les ions lithium pendant les cycles de charge et de décharge, des chercheurs de l’université technologique de Graz (TU Graz) ont recueilli des informations qui expliquent l’écart entre la capacité théorique et la capacité pratique des batteries lithium-ion-phosphate.
Fraunhofer CSP présente un prototype de module solaire de 380 W construit à partir de pièces biodégradables
Dans le prototype en question, tous les composants qui ne sont pas directement utilisés pour convertir la lumière en électricité sont fabriqués à partir de matériaux biodégradables ou recyclables ou de matières premières renouvelables. Le module est le résultat du projet E2 – E-Quadrat financé par le ministère fédéral allemand de l’économie et de l’action climatique.
L’organisme de recherche allemand Helmholtz Association entend donner un coup d’accélérateur à l’adoption de technologies photovoltaïques imprimées flexibles en transférant les avancées obtenues en laboratoire à l’industrie au travers de son initiative Solar TAP, qui est en plein essor.
Les scientifiques ont simulé des dizaines de structures de cellules sans couche de transport d’électrons pour identifier la conception optimale avec une électrode avant transparente Zr:In2O3, une couche de transport des trous CuSCN et une électrode arrière transparente NAN. Ils ont également optimisé l’épaisseur et la largeur de bande.
Dans un nouvel article scientifique, des chercheurs de la King Abdullah University of Science and Technology (KAUST) en Arabie Saoudite ont présenté la cellule solaire tandem pérovskite-silicium au rendement de 33,7 % annoncé en mai l’an dernier. Ils ont expliqué que le dispositif fonctionne à partir d’un additif de pérovskite appelé tétrahydrotriazinium qui améliorerait la stabilité de phase du film en pérovskite dans des conditions chaudes et ensoleillées.
Baptisé SolarNet+, ce nouveau cadre serait capable de calculer le potentiel photovoltaïque des villes, non seulement en déterminant l’orientation des toits par vue aérienne, mais aussi en recensant les éléments en superstructure, telles que les fenêtres ou les cheminées. Testé à l’aide de photos aériennes de Munich et de Bruxelles, le dispositif s’est révélé plus efficace que les cadres de référence.
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