2025

La proposition de loi portant programmation nationale pour l’énergie et le climat pour les années 2025 à 2035 (dite « Gremillet ») a été adoptée au Sénat, avec un texte resserré sur les enjeux programmatiques et expurgé d’une douzaine d’articles. Les écologistes regrettent l’absence d’objectifs pour les renouvelables.

L’accord de collaboration porte « sur l’innovation technique et le développement de projets en commun » dans le segment des centrales au sol de grande taille, les systèmes photovoltaïques distribués et les solutions énergétiques intégrées en France et en Europe.

Alors que le projet de loi Grémillet entre aujourd’hui en deuxième lecture au Sénat, les coûts de développement des énergies renouvelables font l’objet de nombreux fantasmes. Ils s’élèveraient, selon leurs détracteurs, à 300 milliards d’euros sur dix ans. Un chiffre largement surestimé qui mélange ensemble différents éléments. pv magazine France a refait les comptes.

Tout au long de cet été, pv magazine France vous emmène à la (re)découverte des plus grandes centrales photovoltaïques de France. Pour ce premier volet, zoom sur le parc de Cestas (Gironde), mise en service en 2015. Grâce à une expérimentation menée avec RTE depuis 2022, il est le seul en France à contribuer, même la nuit, à la stabilité du réseau.

C’est de saison ! À l’image de la journée portes ouvertes organisée par Reden Solar à Viviers-lès-Montagnes (81) sur l’exploitation de la famille Combelle, les développeurs profitent des beaux jours pour présenter et promouvoir leurs projets agrivoltaïques.

Le gestionnaire du réseau belge Elia indique que le pays pourrait presque doubler sa capacité photovoltaïque installée, passant d’environ 12,6 GW en 2025 à 22,5 GW fin 2030.

L’objectif des deux partenaires Greensolver et StackEase, spécialistes du stockage et de l’empilement de revenus, est de fournir aux développeurs français des études d’opportunités et des modèles financiers construits à partir de données issues du terrain, pour déterminer la taille optimale des projets BESS standalone et hybrides.

Chiffré à 29,5 milliards d’euros, le projet de l’entreprise britannique Xlinks a pour but d’importer de l’énergie solaire et éolienne produite au Maroc grâce à des câbles sous-marins. Il ne relève plus de « l’intérêt national », selon Londres.

Conformément à son business model, l’énergéticien a dans le même temps cédé 50 % d’un portefeuille d’actifs renouvelables au Portugal et finalisé l’acquisition de la moitié du portefeuille renouvelable d’AES en République dominicaine, après avoir déjà acquis 30 % de ses actifs à Porto Rico.

Spécialisée dans l’autoconsommation solaire des particuliers et des professionnels, l’entreprise à mission Solarock annonce une première levée de fonds de 7 millions d’euros pour démocratiser l’accès à l’énergie verte, en s’appuyant notamment sur un réseau de franchises locales.