La société suisse Phenogy a lancé un système de stockage d’énergie sodium-ion à l’échelle du mégawattheure sur un site commercial situé près de l’aéroport de Brême, dans le nord de l’Allemagne. Avec ce projet, le fabricant suisse fait ses débuts sur la scène européenne du stockage d’énergie, porté par l’ambition de développer une production locale entièrement intégrée verticalement.
Le premier ministre a démenti dans la presse l’existence d’un projet de moratoire sur les énergies renouvelables terrestres. Le Syndicat des énergies renouvelables se dit soulagé mais reste vigilant.
Des voleurs ont dérobé 50 km de câble, d’une valeur d’environ 100 000 euros, dans un parc solaire de 11 MW situé dans le sud de l’Allemagne. Selon la police, les coûts de réparation devraient largement dépasser la valeur du matériel subtilisé.
Alors que l’Assemblée nationale avait rejeté en juin une proposition de loi limitant le développement des énergies renouvelables, un moratoire sur le solaire et l’éolien terrestre pourrait tout de même revenir par la voie réglementaire. La filière réagit avec inquiétude et lassitude.
À Générac (Gard), Reden et le « Domaine des Côteaux » ont inauguré deux serres agrivoltaïques d’une capacité totale de 3,8 MW, qui permettent l’introduction de la culture du kiwi jaune en France.
Composé de trois batteries I-Shift de 20 pieds, le système de 9 MWh offre quatre heures de stockage. Il est destiné aux industriels souhaitant sécuriser leur approvisionnement électrique, tout en s’assurant des revenus complémentaires.
Deux jeunes entreprises, Eclaircie et Animergy, s’associent pour convertir un maximum des centrales photovoltaïques en opérations d’autoconsommation collective.
La coopérative agricole Eureden et le développeur solaire TSE ont signé un partenariat visant à développer des projets agrivoltaïques sur les quatre département bretons et la Loire-Atlantique. Leur ambition commune est de développer 30 à 50 projets agrivoltaïques d’ici à 2030.
Un rapport de SolarPower Europe estime que les modules solaires fabriqués dans l’UE coûtent 0,103 €/Wc de plus que les importations chinoises, mais des politiques ciblées, en plus du NZIA, pourraient combler cet écart et à aider à atteindre l’objectif de 30 GW de capacité de production annuelle dans l’UE d’ici 2030.
En test chez des utilisateurs depuis cet été, le dispositif s’installe directement dans le tableau électrique afin de piloter le chauffe-électrique pour optimiser l’autoconsommation solaire en journée.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.