Alors que les prix bas et négatifs se multiplient, la performance d’une centrale photovoltaïque ne se lit plus dans les moyennes mensuelles. Seul le capture-price permet de mesurer la valeur réellement captée par chaque installation, et met en lumière des écarts qui deviennent décisifs pour la rentabilité des actifs solaires.
Attendu depuis l’adoption de la loi APER, l’Observatoire national de l’agrivoltaïsme est désormais en ligne. Piloté par l’Ademe, il livre ses premières analyses issues de plus de 1 600 projets recensés dans cinq régions, témoignant de l’essor rapide, mais encore largement à encadrer, de la filière agrivoltaïque en France.
Détenue à parts égales par Entech et Primeo Energie, cette co-entreprise a pour but de constituer un parc de projets d’au moins 100 MW à horizon 2029. Un premier projet, d’une puissance de 14 MW, sera construit au cours de l’année 2026 pour une mise en service prévue à la fin de la même année.
157 dossiers sont lauréats de la première période de l’appel d’offres simplifié dédié aux centrales photovoltaïques de 100 à 500 kWc, qui succède au guichet ouvert S21. Sans surprise, la puissance allouée est très inférieure au volume appelé, les développeurs ayant préféré proposer leurs projets en toute fin de S21. Un lancement contrasté, alors que la filière attend le calendrier des prochaines périodes.
120 députés ont voté pour la suppression de l’article, contre 93 pour son maintien, contre l’avis du gouvernement. Parmi les arguments en faveur de la suppression, plusieurs députés ont souligné le caractère délétère qu’aurait revêtu cette mesure rétroactive sur les investisseurs nationaux et internationaux.
Secoué par la liquidation d’EverWatt, le projet de solarisation de la Base sous-marine trouve un nouvel élan avec sa reprise par Nexhos. Une reprise qui sécurise l’installation de 13 200 m² de panneaux solaires dans le cadre de l’objectif de Bordeaux d’atteindre 41 % d’autonomie énergétique dès 2026.
Après trois ans d’expérimentation en conditions réelles, TSE dévoile les premiers résultats consolidés de ses canopées agrivoltaïques, conçues avec l’INRAE et plusieurs partenaires agricoles. De la réduction de l’évapotranspiration à l’atténuation du stress thermique, ces indicateurs renforcent, selon le producteur, la crédibilité de l’agrivoltaïsme piloté comme levier d’adaptation climatique pour les exploitations.
HoloSolis renforce son plan de financement à plus de 220 millions d’euros grâce à l’arrivée de deux nouveaux investisseurs et avance sur son projet de gigafactory TOPCon à Hambach (Grand Est). L’entreprise dit avoir finalisé son modèle industriel et sécurisé un important portefeuille de clients.
Dans le cadre de ce contrat de gré à gré, l’électricité fournie à Google proviendra de la centrale solaire « Montpelier » de TotalEnergies, située dans l’Ohio. En phase finale de construction, celle-ci est raccordée au réseau PJM, le plus vaste des États-Unis, et contribuera à alimenter les data centers de Google dans l’Ohio.
Le producteur d’énergie accélère sa diversification sur le segment du photovoltaïque C&I en s’associant à Animergy, gestionnaire d’opérations d’autoconsommation collective. Ce partenariat illustre l’évolution du marché du photovoltaïque, qui ne doit plus seulement produire de l’électricité, mais aussi faire converger la production et ses usages.
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