Réunis en Assemblée générale mardi 8 juillet 2025, les 499 adhérents du Syndicat des énergies renouvelables (SER) ont renouvelé leur confiance à Jules Nyssen, reconduit à la présidence pour un nouveau mandat de trois ans, témoignant du soutien des acteurs de la filière à la trajectoire engagée depuis 2022. Les postes de 15 administrateurs ont également été renouvelés.
La proposition de loi portant programmation nationale pour l’énergie et le climat pour les années 2025 à 2035 (dite « Gremillet ») a été adoptée au Sénat, avec un texte resserré sur les enjeux programmatiques et expurgé d’une douzaine d’articles. Les écologistes regrettent l’absence d’objectifs pour les renouvelables.
Alors que le projet de loi Grémillet entre aujourd’hui en deuxième lecture au Sénat, les coûts de développement des énergies renouvelables font l’objet de nombreux fantasmes. Ils s’élèveraient, selon leurs détracteurs, à 300 milliards d’euros sur dix ans. Un chiffre largement surestimé qui mélange ensemble différents éléments. pv magazine France a refait les comptes.
Chiffré à 29,5 milliards d’euros, le projet de l’entreprise britannique Xlinks a pour but d’importer de l’énergie solaire et éolienne produite au Maroc grâce à des câbles sous-marins. Il ne relève plus de « l’intérêt national », selon Londres.
L’Union européenne a introduit de nouvelles règles obligeant les États membres à intégrer des critères de durabilité et de résilience dans les appels d’offres pour les énergies renouvelables.
A 377 voix contre et 142 voix pour, l’Assemblée nationale a rejeté la proposition de loi portant programmation nationale pour l’énergie et le climat pour les années 2025 à 2035. Celle-ci prévoyait notamment un moratoire sur le développement des énergies éolienne et photovoltaïque et la relance du nucléaire. Les représentants de la filière des renouvelables se disent soulagés mais restent vigilants sur l’avenir énergétique de la France.
Moratoire sur l’éolien et le solaire, tentative d’exclusion des renouvelables de la définition des énergies décarbonées… Le texte de programmation énergétique, sévèrement amendé, sera solennellement voté mardi prochain à l’Assemblée nationale. Sans certitude sur son avenir, le gouvernement ayant déjà indiqué qu’il publierait la PPE par décret avant la fin de l’été, soit antérieurement à l’adoption définitive de la loi.
Instauré par la loi Énergie-Climat du 8 novembre 2019, le dispositif dit « bac à sable réglementaire » permet d’accorder des dérogations aux conditions d’accès et à l’utilisation des réseaux et installations pour déployer à titre expérimental des technologies ou des services innovants. Acciona, Elax Energie, EDF, Amarenco… l’organisme de régulation fait le point sur les projets en cours.
Pour instaurer la confiance du marché, notamment des énergies renouvelables, envers les certificats de qualification d’entreprise et dans le fonctionnement des organismes qui les délivrent, l’association Qualiconform a été mise en place au début de mois de juin.
L’autoconsommation collective continue sa marche en avant, le cap des 1 000 opérations en service ayant été largement dépassé à fin mai 2025, avec 1 114 communautés énergétiques recensées.
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