Après le ralentissement de l’année dernière, l’investissement dans le secteur chinois des batteries sodium-ion rebondit en 2025, et l’un des plus grands projets à ce jour vient désormais d’entrer dans la phase de développement.
Dans un nouvel article scientifique, le fabricant solaire chinois a expliqué que la cellule hybride à contacts arrière interdigités (« interdigitated back-contact ») à 27,81% d’efficacité qu’il a dévoilée en avril est basée sur des contacts tunnel passivés et des couches de passivation diélectriques, tout en incorporant à la fois des contacts de type n et de type p.
Le programme qui se déroule à l’INES en partenariat avec le CNES, Airbus et Thalès, a mis au point des cellules ultra-fines (90 µm d’épaisseur) qui sont désormais capables de se régénérer à la suite d’irradiation. Une mission est prévue d’ici 18 à 24 mois pour tester ces cellules en environnement réel sur satellite.
L’entreprise a produit son premier prototype de batterie sodium-ion et, en collaboration avec l’institut de recherche espagnol CIC energiGUNE, a développé des prototypes de cellules sodium-ion qui ont montré « des résultats très prometteurs ».
Entreprise néerlandaise spécialisée dans l’énergie solaire maritime, Wattlab réalise la première installation complète de panneaux solaires Flatrack sur le caboteur MV Vertom Tula.
Filiale d’Enverus, RatedPower a conçu un nouvel outil de simulation photovoltaïque, qui combine le ray-tracing, la validation en conditions réelles et l’édition de conception intégrée. Objectif : garantir plus de précision et de performance dans le développement des centrales solaires.
Le constructeur allemand a dévoilé son premier prototype de voiture équipé d’un revêtement solaire à nanoparticules, sans silicium, affichant un rendement de 20 %, capable d’alimenter le véhicule même lorsqu’il est à l’arrêt, et utilisant des modules plus fins qu’un cheveu humain.
Dans le cadre du projet de recherche KV-BATT, une réduction des pertes d’énergie dans les systèmes de stockage par batteries doit être testée à l’aide d’une tension dix à vingt fois supérieure à celle utilisée habituellement. Après une phase théorique et le développement de composants résistants à haute tension, un test pratique de longue durée commence.
Des chercheurs au Canada ont proposé d’utiliser le stockage d’énergie basé sur la gravité dans des immeubles de grande hauteur, en combinaison avec des façades photovoltaïques, de petites éoliennes et des batteries lithium-ion. Leur modélisation a indiqué que ce système hybride pourrait atteindre un coût actualisé de l’énergie allant de 0,048 €/kWh à 0,106 €/kWh.
L’institut de recherche français a indiqué que la technologie pérovskite bifaciale à large bande interdite sera portée à une taille de 60 cm x 30 cm pour une utilisation dans des panneaux tandem pérovskite-silicium à quatre terminaux.
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