Depuis mai 2024, ce territoire d’outre-Mer à 16 000 km de Paris est secoué par un nouveau cycle de violences, sur fond d’inégalités sociales et de crise du secteur minier. Alors que le gouvernement avait de grandes ambitions dans le photovoltaïque, les développeurs tentent de poursuivre leurs projets, en dépit des difficultés de financement.
La Société d’économie mixte locale (SEML) bretonne et le fournisseur d’énergie ont décidé d’investir ensemble dans la réalisation d’un parc solaire sur la commune du Rheu (Ille-et-Vilaine).
L’analyse du Bureau européen de l’environnement (BEE) exclue les réserves naturelles et les zones agricoles à forte valeur ajoutée. En France, l’agence a estimé que 0,3 % du territoire français (soit environ 189 000 hectares, principalement en zone rurale) serait nécessaire pour remplir les objectifs de l’accord de Paris et déployer 101 GW de photovoltaïque d’ici 2040.
L’Institut Becquerel prévoit environ 900 MW pour l’ensemble de l’année. En 2023, la Belgique a mis à jour son plan national d’action pour le climat, fixant de nouveaux objectifs solaires de 8,9 GWc pour la Flandre, 5 GWc pour la Wallonie et 1 GW de solaire flottant d’ici 2030.
Noriap et TSE ont signé le premier contrat issu de leur partenariat établi en avril dernier. Ce projet porte sur l’installation d’une ombrière de culture équipée d’un ombrage tournant sur une exploitation agricole dans la Somme (Hauts-de-France).
L’enveloppe, qui s’inscrit dans un emprunt global de 4,5 M€, sera dédiée à un portefeuille de 11 centrales photovoltaïques au sol d’une puissance totale de 98,5 MWc, pour des puissances unitaires comprises entre 1 MWc et 22,2 MWc. Elles seront mises en service entre fin juin 2026 et fin décembre 2027.
Le ministère de l’Economie et des finances a publié l’arrêté du 5 juillet 2024 relatif au développement de l’agrivoltaïsme et aux conditions d’implantation des installations photovoltaïques sur terrains agricoles, naturels ou forestiers. Très attendu, le texte précise notamment les modalités de calcul des rendements et du revenu agricole ou encore le montant forfaitaire des garanties financières.
L’entreprise lyonnaise mettra en service à l’été 2025 une volière solaire sur un élevage de faisans, située à Loury (Loiret), qui permettra de produire environ 32 GWh d’électricité par an et de protéger les animaux du soleil et de l’intrusion des oiseaux migrateurs.
L’énergéticien EDF Renouvelables fait appel à une station de recherche appliquée aux fruits et aux légumes et à un centre d’analyse de données et d’intelligence artificielle pour étudier pendant au moins trois ans, la cohabitation entre production de pommes et la production d’électricité solaire.
Dans sa lettre apostolique “Frère Soleil”, le pape François annonce la construction d’une centrale photovoltaïque pour la « subsistance énergétique complète » du pays. L’Etat pontifical compte déjà une centrale photovoltaïque depuis 2008.
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