L’organisation syndicale agricole, qui récuse la notion d’agrivoltaïsme, exige l’interdiction des centrales photovoltaïques sur toutes les terres agricoles, naturelles et forestières. D’autant que, selon elle, les gisements sur les toitures et les surfaces déjà artificialisées seraient déjà suffisants « pour dépasser les objectifs de la France en matière de production d’énergie photovoltaïque ».
L’Allemagne a installé 16,2 GW de solaire en 2024, portant la capacité totale de la production photovoltaïque à 99,3 GW d’ici la fin décembre 2024, selon l’Agence fédérale des réseaux (Bundesnetzagentur).
Pour cette nouvelle session, 500,6 MW ont été sélectionnés pour 500 MW appelés. Le photovoltaïque continue de dominer l’appel d’offres avec 35 projets sélectionnés (pour 463,7 MWc de puissance), contre trois projets éoliens, correspondant à 36,9 MW. Le prix moyen est à la baisse avec 80,6 €/MWh.
L’Institut Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire (Fraunhofer ISE) rapporte que l’Allemagne a généré 72,2 TWh d’énergie solaire en 2024, représentant ainsi 14 % de sa production totale d’électricité.
L’Association des industries de l’énergie solaire (SEIA) a dressé une liste de 10 aspects d’une industrie solaire forte sous l’administration du président élu des États-Unis, Donald Trump.
Le spécialiste du repowering a été récompensé sur le salon Energaïa, qui vient de s’achever, pour son module agrivoltaïque qui intègre des convertisseurs de lumière dans l’encapsulant, pour exploiter au mieux les longueurs d’onde du spectre lumineux en fonction des besoins des plantes.
Si 2023 et 2024 ont été dédiées aux textes réglementaires, 2025 sera l’année de la réflexion sur les modèles d’affaires et de projets selon le syndicat des professionnels de l’énergie solaire qui intervenait ce matin dans le salon d’Energaïa.
PV InfoLink prévoit que la demande solaire chinoise atteindra entre 240 GW et 260 GW cette année, tandis que la demande européenne atteindra entre 77 GW et 85 GW.
L’autorité a émis plusieurs recommandations visant à améliorer la prise en compte de l’évaluation carbone des installations, l’intégration des projets EnR dans le système électrique, comme l’introduction d’une zone de prix tampon lorsque seule une partie de la production EnR est nécessaire pour l’équilibre du système. Elle propose également de laisser aux candidats l’appréciation de la durée d’application du coefficient d’indexation K et de revoir à la baisse le prix plafond de l’appel d’offres.
Au Royaume-Uni, des scientifiques ont simulé une façon d’utiliser une installation d’agrivoltaïsme hors réseau de 1 GW pour alimenter des véhicules électriques à pile à combustible à hydrogène en Australie, en Californie, en Chine, au Nigéria et en Espagne. Leur analyse technico-économique a montré que la combinaison proposée pouvait fournir un coût actualisé de l’hydrogène (LCOH) compris entre 3,71 et 7,73 €/kg.
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