Après les annonces du ministère de l’énergie sur la refonte des tarifs pour le segment 0-500 kWc, les réactions des professionnels du photovoltaïque se multiplient et oscillent entre incompréhension, colère, découragement et pragmatisme. Beaucoup soulignent le risque d’une chute brutale du nombre de projets et craignent de vivre une année blanche. D’autres s’interrogent sur les motivations du gouvernement, alors que ce dernier entend soutenir la création d’une filière de production de panneaux solaires dans l’Hexagone, tout en réduisant la profondeur du marché. Synthèse.
Le fabricant de vérandas Akena et le groupe de distribution et fourniture de gaz Picoty créent une co-entreprise dans l’ouest de la France pour l’installation de systèmes solaires en autoconsommation pour les particuliers et les petites entreprises, sur des toitures, des petites ombrières ou des abris de jardin.
Le gouvernement envisage en effet de réduire, de façon rétroactive au 1er février, les niveaux de soutien aux projets solaires d’une puissance inférieure à 500 kWc (segment dit « S21 »). SER et Enerplan l’appellent donc à revenir sur sa position en maintenant le cadre tarifaire actuel pour le segment S21, le temps que le nouveau mécanisme, dont le calendrier de mise en œuvre apparaît incertain, soit effectivement mis en place.
Face à l’urgence de sortir des énergies fossiles, le réseau Cler, association nationale qui rassemble près de 300 structures engagées dans la transition énergétique, vient de publier un état des lieux intitulé “Accorder énergies renouvelables et patrimoine culturel pour des territoires durables et harmonieux”. Le document de 48 pages contient également des exemples d’intégration réussie et des propositions pour améliorer le dialogue entre les acteurs. Synthèse.
Bonne nouvelle pour les clients des 700 opérations d’autoconsommation collective actives en France. Avec l’adoption de la loi de finances 2025, ils ne sont désormais plus assujettis au droit d’accise.
Lauréat d’un appel d’offre de la commission de régulation de l’énergie, ce projet bénéficiera d’une puissance totale de 10,6 MWc. La zone concernée par cet ouvrage représente un total de 170 000 m² dont 49 000 m² seront recouverts d’ombrières photovoltaïques , ce qui fera du site le plus grand en son genre sur la Charente-Maritime.
Cette émission vise à financer des projets de production d’énergie solaire et s’inscrit dans le cadre de la récente évolution de la réglementation brésilienne.
Producteur mondial d’acier, l’entreprise turque Tosyalı lance sur son sol l’un des plus grands projets de centrale solaire en autoconsommation au monde.
Alors que le gouvernement s’apprête à arbitrer la prochaine PPE et que l’État pourrait brider l’essor de l’énergie solaire avec des coupes budgétaires, la filière du photovoltaïque sort ses arguments : elle a représenté 14 milliards d’euros d’investissement en 2024, mais aussi 67 000 emplois, des milliers d’entreprises et deux milliards d’euros de retombées fiscales.
Alors que certaines d’entre elles ont l’obligation d’installer des ombrières photovoltaïques sur leurs parkings extérieurs, les copropriétés françaises sont rares à solariser leurs toitures. Si des freins subsistent – comme celui de la dépendance des aides au financement d’une installation solaire à un programme de rénovation énergétique global –, ils n’occultent pas les expériences menées par des collectivités locales comme, par exemple, le Grand Annecy.
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