Cette réalisation marque l’entrée de l’entreprise Générale du Solaire sur le marché du solaire flottant. Le projet a été développé, financé et construit par l’IPP français tandis que les caractéristiques techniques, notamment au niveau des flotteurs et de l’ancrage, ont été confiées au spécialiste Ciel & Terre.
Si la crise énergétique a vu les délais de travaux s’allonger par manque de main d’œuvre, la situation semble aujourd’hui s’apaiser. Le secteur reflète l’évolution du marché : structuration de la filière, encadrement des normes, développement de la formation et augmentation de la taille des projets.
Un parc solaire linéaire expérimental en ombrières est en cours de construction dans le Vaucluse. Il repose sur une architecture électrique en courant continu à haute tension, qui permet de limiter les pertes d’électricité le long du tracé.
L’opération, réalisée auprès de plusieurs partenaires historiques se compose d’une dette senior de 177 millions d’euros et d’une dette junior de 24,5 millions d’euros. Elle permettra la construction de 27 centrales solaires d’une puissance totale de 177 MW et de contrats d’autoconsommation.
L’autoconsommation des particuliers connaît une dynamique sans précédent en France mais malgré un potentiel immense, le pays ne recense aujourd’hui que 3 % de propriétaires équipés. Aux côtés de ses voisins allemands, néerlandais ou espagnols, la France semble encore bien modeste sur le segment. Quelles sont les causes de ce retard, et quelles sont les perspectives laissant entrevoir un zénith de l’autoconsommation encore à venir ?
Retrouvez chaque semaine dans pv magazine les appels d’offres publiés relatifs aux projets photovoltaïques en France.
Masdar et la société Emirates Water and Electricity Co. (EWEC) prévoient de construire un projet solaire et de stockage de batteries (BESS) d’une valeur de 6 milliards de dollars (environ 5,5 milliards d’euros), d’une capacité de 5 GW/19 GWh, à Abou Dabi, avec une mise en service prévue pour 2027.
Ces deux dernières années, l’autoconsommation a changé de braquet en France, portée par la hausse des prix de l’énergie, mais aussi la réglementation en ce qui concerne les entreprises. Tout l’enjeu de la filière est maintenant de garder ce rythme de croissance pour massifier les capacités installées.
La dynamique engagée par les élus et les syndicats locaux pourrait représenter 270 millions d’euros d’investissement pour financer 230 MW d’énergies renouvelables dans les huit prochaines années, avec un partage local des bénéfices.
L’organisation syndicale agricole, qui récuse la notion d’agrivoltaïsme, exige l’interdiction des centrales photovoltaïques sur toutes les terres agricoles, naturelles et forestières. D’autant que, selon elle, les gisements sur les toitures et les surfaces déjà artificialisées seraient déjà suffisants « pour dépasser les objectifs de la France en matière de production d’énergie photovoltaïque ».
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