Le Français a achevé un projet solaire flottant de 120 MWc en Inde, intégrant plusieurs innovations inédites pour l’entreprise en matière d’ingénierie et de conception, dont un ancrage par boulons rocheux et une barge d’onduleurs renforcée en fibre de verre. Ce système marque également la première utilisation par le spécialiste français du photovoltaïque du soudage par rotation (spin welding) pour l’assemblage de sa plateforme flottante.
Selon les dernières prévisions de l’association européenne, 597 gigawatts de nouvelles installations photovoltaïques ont été ajoutés dans le monde l’an passé. La puissance photovoltaïque cumulée installée a ainsi atteint 2,2 térawatts à la fin de l’année.
« Stoppons le bashing du solaire », clame Xavier Daval, PDG de kiloWattsol, dans une tribune consacrée à la panne électrique survenue en Espagne le 28 avril. Selon lui, cet incident devrait surtout être une occasion d’apprendre. « Si l’Europe a manqué la première vague industrielle de la transition énergétique, elle ne doit pas manquer la seconde : la maîtrise de l’architecture, du contrôle et de l’intelligence des réseaux de demain », écrit-il.
Le réseau espagnol a fonctionné entièrement à partir d’énergie renouvelable pour la première fois le 16 avril, avec l’éolien, le solaire et l’hydroélectrique couvrant toute la demande d’électricité de la péninsule pendant un jour de semaine. Cinq jours plus tard, le solaire a établi un nouveau record, générant 20 120 MW de puissance instantanée – couvrant 78,6 % de la demande et 61,5 % du mix du réseau.
Des scientifiques ont testé les performances de panneaux photovoltaïques flottants à une hauteur de 800 mm et de 250 mm au-dessus de leurs structures flottantes. Leurs performances thermiques et électriques ont été comparées à celles d’un système terrestre de référence, et il a été constaté que le panneau le plus haut offrait le plus grand effet de refroidissement.
BloombergNEF estime que les installations solaires mondiales pourraient atteindre 700 GW en 2025, avec des ajouts atteignant 753 GW en 2026 et 780 GW en 2027.
La principale source de production du mois était le nucléaire (22,1 %), suivi de l’hydroélectrique (20,2 %), de l’éolien (17,3 %), du photovoltaïque (14 %) et du cycle combiné (13,8 %). De plus, 237 GWh ont été fournis aux installations de stockage et 1 214 GWh ont été programmés pour l’exportation d’énergie vers les pays voisins.
Dans la version diffusée de mars 2025, les objectifs pour le photovoltaïque sont revus à la baisse : ils sont passés pour 2035 de « 75 à 100 GW » à « 65 à 90 GW ». Pour 2030, l’ambition serait de 54 GW pour 2030, soit la fourchette basse soumise à consultation fin 2024 (54 à 60 GW).
Les deux partenaires prévoient de conclure de nouvelles transactions portant sur un portefeuille supplémentaire d’environ 400 MW en Espagne et au Portugal dans les semaines à venir.
Des chercheurs espagnols ont créé un nouvel indice qui aiderait les développeurs de projets à identifier les meilleures zones dès les premières étapes du développement des centrales hybrides éolien-solaire. L’approche proposée est censée éviter les lacunes des critères précédents et les surestimations causées par des délais temporels.
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