L’opération permettra la construction et l’exploitation d’un portefeuille de sept parcs solaires au sol d’une puissance totale de 120 MW répartis dans les Ardennes, en Seine-Maritime, dans le Cher, dans le Nord et dans le Loiret.
La PME spécialisée dans la commercialisation de fruits rouges s’est associée à Photosol et à Insolight pour développer un démonstrateur agrivoltaïque de 299 kWc dans l’Aisne. L’objectif : augmenter le rendement agricole et générer des revenus supplémentaires avec la vente d’électricité pour réintroduire la production de fruits rouges dans l’Hexagone.
Octopus fait l’acquisition du portefeuille de 21 projets développés en Nouvelle-Aquitaine, Centre-Val de Loire et Auvergne-Rhône-Alpes par OX2 France et totalisant environ 450 MW, principalement dans le domaine de l’agrivoltaïsme. Grâce à cela, le Britannique espère doubler sa capacité photovoltaïque actuelle dans l’Hexagone.
L’organisation syndicale agricole, qui récuse la notion d’agrivoltaïsme, exige l’interdiction des centrales photovoltaïques sur toutes les terres agricoles, naturelles et forestières. D’autant que, selon elle, les gisements sur les toitures et les surfaces déjà artificialisées seraient déjà suffisants « pour dépasser les objectifs de la France en matière de production d’énergie photovoltaïque ».
Tout agriculteur partenaire du groupe coopératif agricole Terres du Sud, dont le site est adapté pour accueillir une centrale photovoltaïque, pourra être mis en relation avec le Crédit Agricole Aquitaine qui lui proposera une solution de tiers investissement adaptée.
Si 2023 et 2024 ont été dédiées aux textes réglementaires, 2025 sera l’année de la réflexion sur les modèles d’affaires et de projets selon le syndicat des professionnels de l’énergie solaire qui intervenait ce matin dans le salon d’Energaïa.
Au Royaume-Uni, des scientifiques ont simulé une façon d’utiliser une installation d’agrivoltaïsme hors réseau de 1 GW pour alimenter des véhicules électriques à pile à combustible à hydrogène en Australie, en Californie, en Chine, au Nigéria et en Espagne. Leur analyse technico-économique a montré que la combinaison proposée pouvait fournir un coût actualisé de l’hydrogène (LCOH) compris entre 3,71 et 7,73 €/kg.
Les autorités italiennes ont sélectionné 540 projets, totalisant 1,5 GW, dans le premier appel d’offres pour l’agrivoltaïsme du pays.
Présent à Poitiers, Paris, Saumur, Périgueux et Clermont-Ferrand, l’assistant à maîtrise d’ouvrage pour la construction de parcs photovoltaïques et agrivoltaïques au sol profite d’une nouvelle répartition de son capital pour faire reconnaître, en 2025, sa qualité de « société à mission ».
En fonction des cépages, Sun’Agri a enregistré des hausses de rendement allant de 20 à 60 % par rapport à la zone témoin sans panneaux. L’une des explications réside dans le fait que la présence des modules solaires minimise les pics de chaleur l’été et la baisse des températures l’hiver.
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