Le pays a longtemps cantonné l’utilisation du solaire aux villages reculés du Sahara. Mais deux appels d’offres de grande ampleur, de 3 GW au total, devraient changer les choses. En introduisant une clause de contenu local dans leur cahier de charges, l’Algérie veut construire toute une industrie autour des énergies renouvelables.
L’énergie solaire photovoltaïque demeure la première source de production d’électricité à partir des énergies renouvelables, avec une capacité totale de 436,8 MW dont 388,95 MW (82,4 %) raccordés au réseau et 47,85 MW (10,1 %) hors réseau. Grâce à plusieurs appels d’offres de grande ampleur lancés ces derniers mois, le pays espère bientôt dépasser la barre des 4 GW.
Selon le dernier bilan du Commissariat algérien aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique (CEREFE), à fin décembre 2022, la puissance totale installée en énergies renouvelables s’élevait à 589,7 MW, dont 460,8 MW hors hydroélectricité englobant 422,6 MW raccordées au réseau et 38,2 MW hors réseau.
En plus de l’usine de Milltech et en plus du consortium entre SPS (Système Panneaux Sandwichs) et Qi-Energy, le Commissariat algérien aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique (Cerefe) prévoit la construction d’une nouvelle usine à Ouargla, dont la construction a été confiée à l’entreprise Zergoun Green Energy.
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