La loi de finances 2026 italienne limite son incitation fiscale « Iperammortamento 2026 » aux panneaux solaires à hétérojonction (HJT) et tandem pérovskite fabriqués en Europe. Selon des experts, cette mesure confère à 3Sun, fabricant italien, un avantage stratégique, tout en avertissant que l’exclusion des technologies TOPCon et contact arrière pourrait fausser la concurrence.
Des scientifiques chinois ont étudié comment les perforations dans le cadre peuvent contribuer à réduire la température de fonctionnement des modules solaires par refroidissement à air. Leurs résultats montrent que le nombre de perforations doit être soigneusement calibré et que plus n’est pas nécessairement mieux.
Avec ce partenariat stratégique avec le fabricant de modules alsacien Voltec, Toyo marque son entrée sur le marché européen, notamment dans les technologies très bas carbone.
Face à la recrudescence des épisodes de grêle destructeurs, le fabricant alsacien Voltec Solar dévoile son module Tarka Diamant, doté d’un verre photovoltaïque ultra-résistant certifié RG5, capable de résister à des impacts de grêlons de 55 mm.
Quatre panneaux photovoltaïques du Français Voltec Solar ont obtenu une ECS validant leur bilan carbone inférieur à 530 kgCO2/kWc.
Wood Mackenzie indique que les prix des modules vont grimper à mesure que la Chine met fin aux remboursements fiscaux à l’exportation et consolide la production de polysilicium.
Le prix de l’argent a dépassé les 44 € l’once cette semaine après avoir augmenté de plus de 30 % en six mois. L’expert Philip Newman a déclaré à pv magazine qu’il pourrait franchir les 50 € l’once l’an prochain, accentuant la pression sur les fabricants de modules photovoltaïques pour limiter leur consommation de ce métal.
A partir du 1er octobre, seuls les panneaux photovoltaïques affichant une empreinte carbone inférieure à 530 kgCO₂eq/kWc pourront bénéficier de la TVA à 5,5 % sur le marché résidentiel. Pour respecter ce seuil, nombre de fabricants de modules doivent revoir leurs chaînes d’approvisionnement, un processus complexe et coûteux, surtout dans un laps de temps aussi court.
Une équipe de recherche du National Renewable Energy Laboratory (NREL) des États-Unis a analysé des modules de type n installés dans un projet photovoltaïque commercial de 3 MW, dans le but d’évaluer le taux de dégradation élevé signalé par le propriétaire de l’installation. Les scientifiques ont constaté que la dégradation induite par les ultraviolets (UVID) était un facteur majeur affectant les performances de la centrale.
Le résultat en matière de rendement a été confirmé par le Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) des États-Unis. Le module a été fabriqué à partir de cellules en kësterite avec un rendement de 13,4 %, conçues avec une porosité et une homogénéité élevées du film.
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