Levante, une start-up italienne spécialisée dans la conception et l’ingénierie de panneaux solaires photovoltaïques en fibre de carbone, a présenté des panneaux de 110 W et 55 W destinés à des applications récréatives hors réseau. Les modules sont légers, semi-rigides et fabriqués à partir de fibre de carbone recyclée.
Le fabricant chinois Das Solar doit ouvrir fin 2025 à Mandeure, près de Montbéliard, sa première usine européenne d’assemblage de panneaux photovoltaïques, avec une capacité de 3 GW. pv magazine France a pu s’entretenir avec Frédéric Barbier, ancien député (La République en marche) du Doubs et désormais directeur du projet d’implantation, sur l’avancement des travaux et la tenue du calendrier.
Des scientifiques ont testé les performances de panneaux photovoltaïques flottants à une hauteur de 800 mm et de 250 mm au-dessus de leurs structures flottantes. Leurs performances thermiques et électriques ont été comparées à celles d’un système terrestre de référence, et il a été constaté que le panneau le plus haut offrait le plus grand effet de refroidissement.
L’institut de recherche français a découvert que passer d’une métallisation des cellules à base d’argent à une métallisation argent-cuivre permet de diminuer la quantité totale d’argent dans un module à hétérojonction, avec une quantité totale d’argent requise de seulement 14 mgAg/W. Leur technique d’interconnexion repose sur des adhésifs électroconducteurs à faible teneur en argent et des rubans de cuivre.
L’accord de licence exclusif couvre la fabrication et la vente de produits photovoltaïques à base de pérovskite sur le marché chinois. Une déclaration d’Oxford PV indique que cet accord « souligne le consensus de l’industrie selon lequel les technologies photovoltaïques à base de pérovskite représentent l’avenir du solaire ».
Le fabricant chinois a annoncé que son nouveau module bifacial est doté d’un cadre plus épais de 35 mm et de verre trempé de 2,5 mm sur les deux faces. Il offre un rendement de conversion de l’énergie de 23,3 % et un coefficient de température de -0,29 %/°C.
Des chercheurs de l’Université de New South Wales (UNSW) et de Longi ont découvert que les couches de nitrure de silicium utilisées du côté arrière des cellules TOPCon sont particulièrement vulnérables à la dégradation chimique causée par des contaminants de sodium. Cela peut entraîner des pertes significatives de tension en circuit ouvert et réduire l’efficacité des cellules.
Des scientifiques en Espagne ont étudié les interruptions totales ou partielles des rubans qui relient les cellules solaires dans les modules et ont proposé une classification basée sur leur type et leur emplacement.
Longi a lancé un module solaire à contact arrière avec une efficacité de 24,8 %, offrant une puissance de sortie allant jusqu’à 670 W et un coefficient de température de -0,26% par degré Celsius.
Des scientifiques en Colombie ont créé un ensemble de données ouvertes sur 10 ans pour la détection de défauts des panneaux photovoltaïques. Les données ont été acquises à l’aide d’un système de charge électronique, d’un oscilloscope et d’une caméra thermographique dans des conditions environnementales extérieures.
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