Les prix du verre solaire ont continué d’augmenter cette semaine, avec les feuilles de 2,0 mm en hausse de 8 % pour atteindre 13,5 CNY (1,85 €) par mètre carré et les feuilles de 3,2 mm en hausse de 9,8 % pour atteindre 22,5 CNY (3,04 €), selon la China Nonferrous Metals Industry Association (CNMIA).
Des scientifiques en Indonésie ont étudié les défauts opérationnels précoces d’un système photovoltaïque de 24,9 MW situé à Sumatra et ont identifié la formation de points chauds comme le principal défaut. Ils ont également détecté 282 cas de fissures sur le verre, 350 cas de défaillances de boîtiers de jonction et des effets d’ombrage liés à des défauts des modules.
La société de trading SinoLink Securities indique que les cadres en aluminium représentent désormais une part importante des coûts des panneaux solaires, bien au-delà du polysilicium et du verre. Une pression sur les prix qui pousse à l’innovation.
Le ministère des Finances de l’Inde a appliqué des droits antidumping sur les importations de verre solaire en provenance de Chine, avec des taux variant de 673 à 677 dollars (632,82 à 636,38 €) par tonne, et sur les importations en provenance du Vietnam, à 565 dollars (531,1 €) par tonne.
La Direction générale des recours commerciaux (DGTR) de l’Inde a proposé d’instaurer des droits antidumping sur les importations de verre solaire en provenance de Chine et du Vietnam. Elle affirme que le prix au débarquement de ces importations est inférieur aux prix de vente et aux coûts de production des fabricants indiens.
Des chercheurs de l’institut allemand Fraunhofer ISE ont testé le polymère renforcé de fibres de verre comme matériau de couverture avant pour les modules photovoltaïques intégrés aux véhicules. Ils ont constaté qu’il permettait de réduire le poids de 44 % à 74 % par rapport aux modules conventionnels en verre. Les dispositifs expérimentaux ont résisté aux tests de grêle, évitant la fissuration des cellules après l’impact.
ROSI a signé un accord avec AGC Europe pour lui fournir des « dizaines de milliers de tonnes par an » de verre solaire recyclé pour ses usines de production européennes. Le fabricant de verre plat se permet ainsi des économies de coûts de production, d’énergie et d’émissions carbone.
La loi industrie zéro émission nette (NZIA) est entrée en vigueur la semaine dernière, laissant aux Etats le soin d’établir des critères hors prix dans les marchés publics et les enchères. En France, le projet de qualification Induscore vise à valoriser les panneaux photovoltaïques européens, mais la filière n’a pas trouvé de consensus sur certains points, dont l’intégration du verre solaire dans les étapes de fabrication tracées et les modalités d’attribution de la notation.
Une jeune pousse strasbourgeoise a mis au point une technologie de verre dynamique qui intègre des couches photovoltaïques et des cristaux liquides, ce qui lui permet de s’opacifier et de produire de l’énergie solaire quand il est exposé à la lumière.
L’Inner Mongolia Berun Group a récemment inauguré une nouvelle usine de carbonate de soude en Chine. pv magazine s’est entretenu avec Marguerite Morrin, directrice de recherche pour les analyse du marché de la chimie chez OPIS, des répercussions de cette nouvelle usine sur les prix du vitrage solaire. D’après elle, le site produira du carbonate de soude naturel, moins onéreux que le synthétique.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.