Voulant profiter du marché ouvert par l’obligation faite aux entreprises de solariser leurs toitures et leurs parkings, le groupe Giudicelli, déjà maison-mère du développeur photovoltaïque Voltaïca, fait l’acquisition de l’entreprise Steelgo. Fondée dans les années 1960, celle-ci conçoit, réalise et pose des structures métalliques, des couvertures, des bardages pour les bâtiments industriels, commerciaux et agricoles, mais aussi des garages et abris de jardin. Avec 50 salariés, elle a réalisé un chiffre d’affaires de 12 millions d’euros en 2023 essentiellement dans le grand Ouest et à l’export en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale.
« Peu de développeurs peuvent pour l’heure répondre de façon globale à l’obligation de solariser les toitures et les parkings des entreprises, justifie le groupe Giudicelli dans un communiqué. Désormais, Steelgo et Voltaïca vont pouvoir associer leurs savoir-faire pour proposer des offres clé-en-main d’installations photovoltaïques, de l’étude du projet au à la mise en service de la centrale et de son exploitation ». De plus, Steelgo élargira sa couverture géographique vers le sud de la France en s’ouvrant à de nouveaux marchés, tandis que Voltaïca pourra se développer davantage vers le nord de l’Hexagone.
Entre 2019 et 2022, Voltaïca a connu une croissance moyenne de 171,75 % de son chiffre d’affaires. En 2024, l’entreprise compte 80 collaborateurs et dispose de bureaux à Bastia, Nice et Toulouse. L’entreprise a récemment clôturé plusieurs levées de fonds pour un total de plus de 4,5 M€ et vise une production annuelle de plus de 1 TWh d’ici à 2030.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.
En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.