La mairie de Bordeaux a confirmé que la société BoucL Énergie, en charge du projet de solarisation de la Base sous-marine, qui avait été placé en liquidation judiciaire le 27 août dans le sillage de la liquidation sa maison-mère EverWatt, va être repris par l’entreprise Nexhos.
Cette dernière a été créée en janvier 2024, suite à la reprise par Pascal Martin des filiales Énergies et XP du groupe Legendre, devenues Nexhos Energies et Nexhos Espaces, avec pour vocation de créer un acteur intégré dans les domaines des énergies renouvelables et de la gestion d’espaces immobiliers.
« La reprise, validée par le tribunal de commerce, fait suite à un processus dans lequel plusieurs offres ont été examinées, témoignant de l’intérêt suscité par ce projet ambitieux de production locale d’énergie solaire », indique la ville dans un communiqué publié le 7 novembre.
Le projet de solarisation de la Base sous-marine prévoit d’installer 13 200 m² de panneaux solaires sur la toiture bombée de la base sous-marine, au nord de la ville, pour une puissance de 2,9 MW. Cette opération s’inscrit dans l’Alliance de Bordeaux pour l’Énergie Solaire, pacte à travers lequel la Ville s’est fixé un objectif de 41 % d’autonomie énergétique d’ici 2026, notamment en valorisant les toitures de ses équipements publics.
Selon la ville, Nexhos s’est engagée à respecter les engagements définis dans l’appel à manifestation d’intérêt initial, notamment la mise en œuvre d’un dispositif garantissant au moins 50 % d’autoconsommation collective partagée au bénéfice du quartier et des acteurs locaux.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.






En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.