Le producteur d’énergie éolienne et solaire renforce ainsi son partenariat avec la Banque des Territoires initié depuis 2013 en lui ouvrant son capital à hauteur de 34 %. Grâce à cette opération, JPEE entend poser les bases de sa croissance et vise un doublement de sa capacité installée pour atteindre 1 GW de projets en exploitation en 2026.
La société GBP, basée au Japon, a déclaré que ses nouveaux câbles étaient conformes à plusieurs normes internationales. Il affirme que ces câbles ont une fonction antivol, car ils devraient décourager les voleurs de cuivre de s’approcher d’un système photovoltaïque.
Une équipe de recherche américano-chinoise a étudié les flux de fer, de cuivre, d’aluminium et d’autres métaux précieux de la source à la destination finale dans la chaîne de valeur des infrastructures d’énergie renouvelable. Elle a constaté des déséquilibres importants qui peuvent être attribués à l’externalisation continue de la demande de métaux pour le secteur des énergies renouvelables vers les économies en développement.
Avec sa nouvelle filiale, la SNCF a pour premier objectif de consacrer 1 000 hectares de sa réserve foncière au développement du solaire photovoltaïque, ce qui lui permettrait de couvrir 20 % de ses consommations d’électricité à la fin de la décennie.
TSG entend proposer à ses clients professionnels des installations intégrées alliant la pose de panneaux solaires en ombrières ou en toiture, l’installation de bornes de recharge électrique, et la fourniture de GPL/GNL et hydrogène.
L’Allemagne a déployé un prototype de système photovoltaïque pour autoroute d’une puissance de 33 kW en collaboration avec l’Autriche et la Suisse. Ce système vise à exploiter l’énergie solaire des infrastructures routières.
A partir des premières données, Insolight estime que sa parcelle agrivoltaïque test insolagrin devrait atteindre un rendement de 15 à 20 tonnes de framboises par hectare, tout en produisant annuellement près de 1 GWh sur la même surface.
Une étude réalisée par le laboratoire américain NREL a révélé que les installations photovoltaïques intégrées à la toiture nécessitaient 7 % de temps de main-d’œuvre en moins que les installations solaires standard. Pour les nouvelles constructions, le temps d’installation diminue de 44 %.
La capacité photovoltaïque a été appelée par le conseil de régulation de l’électricité de l’État indien du Gujara et a été répartie entre trois développeurs. Les installations seront déployées sur le site du parc solaire de Khavda sur la base de contrats de construction, d’exploitation et d’entretien (build-own-operate).
La ville et la métropole d’Orléans ont créé une société publique locale (SPL) pour agir sur la production d’énergies renouvelables, et, en priorité le développement de centrales solaires. La SPL sera dotée d’un capital de 2,5 millions d’euros apportés par la ville (45%) et la métropole (55%).
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