Le document de 60 pages explore un grand nombre de centrales agrivoltaïques existantes ou en projet présentant des configurations différentes. Il propose également un système de notation pour évaluer la performance des projets agri-solaires selon des critères agricoles, environnementaux, sociaux, économiques et de qualité du cycle de vie.
En France, le projet lauréat de 1 MWc situé en Auvergne Rhône-Alpes concerne différentes variétés de pommiers sous ombrières semi-transparentes. Sur les 2,8 hectares concernés, un hectare servira de témoin, sans panneaux solaires, et un suivi agronomique est prévu sur plusieurs années.
Le portefeuille de centrales au sol, sur bâtiments, ombrières et agrivoltaïques totalise une puissance de 610,38 MWc pour une production annuelle estimée à 758 GWh. Avec un objectif initial de 2 millions d’euros, cette campagne est la première émission d’un emprunt global pouvant aller jusqu’à 8 millions d’euros.
L’outil, qui prend en compte les onduleurs, les transformateurs, les modules photovoltaïques et leurs supports, ainsi que les câbles électriques, produit différents indicateurs, comme le temps de retour énergétique et le temps de retour CO2. Il est pour l’heure utilisé en interne dans le cadre de travaux de recherche avec des partenaires industriels ou académiques du CEA.
Le projet mené par BayWa r.e. prévoit d’implanter environ 1440 modules photovoltaïques semi-transparents sur une exploitation de fruits rouges. L’électricité sera vendue à prix de marché ou de gré-à-gré via un contrat de type PPA. Des études permettront de contrôler la taille des fruits, leur qualité gustative, le taux de sucre, les rendements ou encore les besoins en eau.
Il s’agit du premier actif solaire du Français dans le pays, où il exploite déjà le parc éolien de Storbrännkullen et la batterie Storen Power Reserve. La construction a été confiée à un consortium constitué de Bouygues Energies & Services et de Solkompaniet.
Mardi 24 octobre 2023, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) a adressé un courrier à l’ensemble des maires et conseillers municipaux afin de rappeler les opportunités liées à la planification territoriale des énergies renouvelables, alors que les « zones d’accélération » doivent être définies d’ici la fin de l’année.
Le closing bancaire de 18 millions d’euros permettra au producteur de financer la réalisation de 17 parcs photovoltaïques en Guyane, à la Réunion et en Métropole. Les projets entreront en service entre fin 2023 et fin 2024.
Ayant bénéficié des mécanismes de crédit d’impôt IRA (Inflation Reduction Act), la centrale de Myrtle a une capacité de 380 MWc et 225 MWh de stockage. 70 % de la capacité de production sera allouée à l’approvisionnement des trois sites industriels de La Porte, de Port Arthur et de Carville du groupe. Le reste fournira une société immobilière dans le cadre d’un contrat de vente (CPPA) de 15 ans indexé sur les prix du marché.
Tandis que la société française vient d’inaugurer dix nouvelles WindBox sur un bâtiment dans les Hauts-de-France, cette levée de fonds va lui permettre d’accélérer son développement technique et commercial, avec de nouvelles installations prévues à Colombes (92), mais aussi en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne.
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