Entre atteinte des objectifs climatiques et nécessité de renforcer la souveraineté, le prochain mandat sera crucial pour la trajectoire énergétique de la France. Toute cette semaine, pv magazine France vous propose donc un décryptage des programmes des candidats à l’élection présidentielle en matière de développement des énergies renouvelables, et plus spécifiquement du solaire. Pour débuter cette série, nous faisons le point sur les propositions de Emmanuel Macron, de La République En Marche, qui pose des objectifs pour 2050 en termes de nucléaire et d’énergies renouvelables.
La Banque de développement d’Afrique du Sud (DBSA) sollicite des consultants pour le déploiement d’une capacité solaire de 3 MW destinée à alimenter les équipements de traction et certaines stations du réseau Gautrain – une ligne ferroviaire de 80 km reliant Johannesburg, Pretoria, Ekurhuleni et l’aéroport international O.R. Tambo dans la province urbaine du Gauteng autour de la capitale.
Plusieurs points clés ont été évoqués par les représentants des États membres de manière à coordonner les initiatives régionales et « permettre une adaptation renforcée et un financement ambitieux pour favoriser l’action climatique » qui sera déterminante pour l’avenir du monde en général et de l’Afrique subsaharienne en particulier dans les 10 à 30 prochaines années.
La levée de fonds de 2 M€ sera allouée au financement de BoucL Energie, société qui porte sur la revitalisation énergétique de la ZAE de Grenoble Métropole, et à l’accompagnement de la croissance d’ EverWatt, spécialisée dans la décarbonation des territoires.
Ce module de 375 Wc pour un rendement de 20,6 % affiche un bilan carbone inférieur à 550 kg CO2/kWc certifié par Certisolis, ce qui lui permet de se positionner sur les appels d’offres de la CRE et sur les installations en toiture inférieures à 500 kWc, dans le cadre de l’arrêté tarifaire S21.
Des chercheurs de l’université de Temple ont observé que la mise en place d’un système de pâturage ovin sur un acre de sol agricole en voie de régénération, agrémenté de plantes indigènes, pouvait permettre de piéger une tonne de carbone par an. Ce volume pourrait s’accumuler pendant 12 à 15 ans avant d’atteindre la saturation.
Avec une puissance allant jusqu’à 410 Wc, le module répond aux critères des appels d’offres CRE4 et PPE2, et du guichet ouvert 500 kWc pour les installations en toiture.
Le bâtiment de 12 000 m2, qui a été équipé d’une centrale PV en toiture de 480 kWc et de batteries lithium de 304 kWh, produit plus d’électricité qu’il n’en consomme. De plus, l’éclairage à lampes à iodure a été remplacé par des LED et le chauffage au gaz par des pompes à chaleur air/air.
Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, et Sébastien Martin, président d’Intercommunalités de France et président de la communauté d’agglomération du Grand Chalon, ont signé le jeudi 13 janvier dernier un accord de partenariat entre le ministère de la Transition écologique et l’association de collectivités locales Intercommunalités de France.
Le projet INCER-ACV va améliorer la prise en compte de l’incertitude dans l’estimation des impacts environnementaux des filières de production d’énergies solaires photovoltaïques. Financée par l’Ademe et réalisée par le consortium Armines-Mines ParisTech et Engie Lab Crigen, l’étude a permis de mettre en place un outil à disposition des industriels et des décideurs publiques pour mesurer l’incertitude des estimations d’impacts et appliquer l’analyse au cas spécifique.
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