Tandis que la société française vient d’inaugurer dix nouvelles WindBox sur un bâtiment dans les Hauts-de-France, cette levée de fonds va lui permettre d’accélérer son développement technique et commercial, avec de nouvelles installations prévues à Colombes (92), mais aussi en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne.
Le groupe français a créé une co-entreprise avec le groupe PCS pour déployer ses solutions brevetées de dessalement d’eau de mer et d’eau saumâtre alimentées en énergie photovoltaïque sans batterie au Maroc.
Des équipes universitaires et industrielles du monde entier se rejoindront fin octobre à Darwin, en Australie, pour le Bridgestone World Solar Challenge : une course « automobile » et technologique de l’Australie de quelque 3000 kilomètres qui est réservée aux véhicules solaires.
En appliquant des techniques développées initialement pour le nucléaire, le CEA veut participer au développement de procédé de recyclage dans la filière photovoltaïque. pv magazine France s’est entretenu avec Virginie Basini, cheffe du service des technologies durables pour le cycle des matières au CEA, pour comprendre le potentiel et les perspectives industrielles de ces techniques qui permettent notamment d’extraire le silicium et l’argent des panneaux en fin de vie.
Les chercheurs ont injecté du polyuréthane thermoplastique et ont constaté qu’il améliorait leur stabilité mécanique tout en conservant une grande flexibilité.
Cet apport de fonds de 10 millions d’euros permettra à la start-up issue du CEA de financer l’installation d’une ligne de production de ses panneaux Stykon avec une capacité initiale de 500 000 m²/an, soit 100 MWc/an, opérationnelle courant 2024.
Des scientifiques ont construit le dispositif en déposant de multiples nanofilms métalliques sur les deux faces à l’aide d’un dépôt chimique en phase vapeur assisté par plasma. La cellule a atteint une tension en circuit ouvert de 684 mV, une densité de courant en court-circuit de 38,2 mA/cm2 et un facteur de remplissage de 80,8 %.
Une équipe de chercheurs du Bangladesh a simulé un dispositif photovoltaïque en pérovskite-CIGS capable d’atteindre une tension de cellule tandem remarquable de 2,48 V. La méthode proposée est également applicable aux cellules tandem composées d’autres matériaux.
Une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a mis au point un système d’évaporateurs et de condenseurs à plusieurs étages. Ce système permet un dessalement solaire rentable, rendant pour la première fois l’eau potable produite par l’énergie solaire moins chère que l’eau du robinet.
Les contacts arrière en électrodes de carbone des cellules solaires à pérovskite promettent une fabrication plus simple et moins gourmande en énergie, mais le faible rendement de conversion de l’énergie a jusqu’ici freiné leur adoption. Toutefois, cette situation pourrait changer car les chercheurs travaillent à surmonter les obstacles à leur commercialisation.
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