Après les annonces du ministère de l’énergie sur la refonte des tarifs pour le segment 0-500 kWc, les réactions des professionnels du photovoltaïque se multiplient et oscillent entre incompréhension, colère, découragement et pragmatisme. Beaucoup soulignent le risque d’une chute brutale du nombre de projets et craignent de vivre une année blanche. D’autres s’interrogent sur les motivations du gouvernement, alors que ce dernier entend soutenir la création d’une filière de production de panneaux solaires dans l’Hexagone, tout en réduisant la profondeur du marché. Synthèse.
La Commission européenne a engagé une action en justice contre huit États membres de l’UE qui n’ont pas transposé en droit national sa directive révisée sur les énergies renouvelables. La France est concernée.
D’ici à juin 2025, la Chine remplacera son système de tarifs de rachat par un modèle de tarification des énergies renouvelables entièrement axé sur le marché, ce qui permettra aux projets éoliens et solaires de faire l’objet d’appels d’offres concurrentiels et de transactions sur le marché. Cette réforme vise à renforcer la concurrence, mais soulève des incertitudes quant aux rendements futurs pour les investisseurs.
Sous la marque Ubix-Solar et à partir de son expérience dans le bâtiment, la société Ubitik lance en direction des développeurs un logiciel de gestion dédié aux projets photovoltaïques de grandes tailles.
Le gouvernement envisage en effet de réduire, de façon rétroactive au 1er février, les niveaux de soutien aux projets solaires d’une puissance inférieure à 500 kWc (segment dit « S21 »). SER et Enerplan l’appellent donc à revenir sur sa position en maintenant le cadre tarifaire actuel pour le segment S21, le temps que le nouveau mécanisme, dont le calendrier de mise en œuvre apparaît incertain, soit effectivement mis en place.
Retrouvez chaque semaine dans pv magazine les appels d’offres publiés relatifs aux projets photovoltaïques en France.
Trina Solar a intenté une action en justice contre Canadian Solar et sa filiale, demandant 147 millions de dollars (137 millions d’euros) de dommages-intérêts pour une prétendue violation de brevets relatifs à la technologie des cellules à contact passivé par oxyde de tunnel (TOPCon). L’affaire, acceptée par le tribunal supérieur du Jiangsu, souligne l’augmentation des conflits liés à la propriété intellectuelle dans le secteur solaire compétitif de la Chine.
Bonne nouvelle pour les clients des 700 opérations d’autoconsommation collective actives en France. Avec l’adoption de la loi de finances 2025, ils ne sont désormais plus assujettis au droit d’accise.
Enoé, associé à LM Soleil, ont sécurisé le financement de leurs besoins en quasi-fonds propres pour le développement, la construction et l’exploitation d’un portefeuille composé de centrales solaires en toiture et en ombrières en France pour une puissance globale supérieure à 30 MWc regroupées sous une holding commune.
La Cour des Comptes de France a lancé un avertissement concernant les coûts et la rentabilité des projets menés par EDF, notamment en se basant sur l’expérience de Flamanville 3. Elle exhorte l’entreprise à limiter son exposition financière dans les projets internationaux.
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