Plus de 5 300 emplois ont été perdus rien qu’au mois de juin, en raison de politiques défavorables et d’une incertitude persistante ayant conduit à l’annulation de projets et d’implantations industrielles, selon plusieurs organisations américaines.
HyVence visait à produire 15 000 tonnes d’hydrogène par an à partir d’une centrale solaire flottante de 500 MW installée sur des étangs de saumure. Face à l’opposition unanime des riverains, des associations environnementales et des élus locaux, le porteur de projet Géosel a été contraint de renoncer à sa réalisation.
Le Conseil européen a approuvé une loi reportant la mise en œuvre des obligations de vérification préalable au 18 août 2027, afin de donner aux fabricants et exportateurs de batteries plus de temps pour se préparer à son adoption.
Le méga-projet Horizeo se heurte non seulement à l’opposition des riverains et des associations locales, mais aussi aux contraintes de la loi Zéro Artificialisation Nette (ZAN) qui limite la taille des projets renouvelables en milieu forestier. A moins d’une adaptation de la loi, le projet pourrait ne jamais voir le jour.
Seize syndicats et fédérations de l’électricité et des renouvelables ont diffusé un communiqué commun dans lequel ils appellent le gouvernement à procéder, sans délai, à la publication du décret fixant la prochaine Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Selon les signataires, seul un cadre législatif stable permettra d’orienter la politique énergétique du pays et de sécuriser les investissements en matière d’électrification des usages et de production décarbonée.
Le département du Commerce des États-Unis (DoC) a annoncé qu’il allait enquêter sur le risque potentiel de restrictions à l’exportation imposées par des pays étrangers, ainsi que sur leur capacité à « instrumentaliser » leur contrôle sur les approvisionnements en polysilicium.
Alors que la majorité des installations de production d’énergie renouvelable sont désormais sous complément de rémunération, la Commission de régulation de l’énergie dresse un bilan, dix ans après la mise en place du dispositif. L’instance fournit également neuf recommandations pour exploiter au mieux les leviers dont disposent les installations soutenues, tout en limitant l’impact sur le budget de l’État.
La proposition de loi portant programmation nationale pour l’énergie et le climat pour les années 2025 à 2035 (dite « Gremillet ») a été adoptée au Sénat, avec un texte resserré sur les enjeux programmatiques et expurgé d’une douzaine d’articles. Les écologistes regrettent l’absence d’objectifs pour les renouvelables.
Alors que le projet de loi Grémillet entre aujourd’hui en deuxième lecture au Sénat, les coûts de développement des énergies renouvelables font l’objet de nombreux fantasmes. Ils s’élèveraient, selon leurs détracteurs, à 300 milliards d’euros sur dix ans. Un chiffre largement surestimé qui mélange ensemble différents éléments. pv magazine France a refait les comptes.
La société d’économie mixte, dont la création a été validée par le conseil métropolitain, aura pour mission d’étudier la faisabilité de projets et de gérer des portefeuilles de projets de production d’énergie. Le potentiel annuel de production d’électricité renouvelable à l’échelle territoriale est évalué à 350 GWh.
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