Les chercheurs de l’institut de recherche belge Imec ont eu recours à un traitement à deux couches pour l’absorbeur en pérovskite, ce qui améliorerait le rendement et la stabilité de la cellule. Le dispositif a atteint une tension de circuit ouvert de 1,17 V, une densité de court-circuit de 24,5 mA/cm² et un facteur de remplissage de 84,6 %.
Des scientifiques espagnols proposent une nouvelle approche pour combiner des panneaux photovoltaïques thermiques à une pompe à chaleur air-eau réversible dans des bâtiments industriels. Ce système vise à produire chauffage, refroidissement, eau chaude sanitaire et électricité.
Des scientifiques américains ont mis au point un panneau solaire monocristallin constitué de « minicellules » basées sur des contacts de passivation à oxyde en polysilicium et silicium. Le module, qui fonctionne avec la lumière laser, pourrait atteindre un rendement de photoconversion de plus de 40 % et une tension de circuit ouvert de 7 V.
Engie, le CEA et un pôle de recherche composé notamment du CNRS, de l’INES et d’universités françaises s’associent pour développer les carburants de synthèses produit par l’énergie solaire et notamment l’hydrogène vert.
Un consortium finno-suédois a mis au point un système hybride utilisant le photovoltaïque et l’énergie thermique solaire pour fournir de la vapeur à des installations industrielles. L’unité PV est couplée à un système de stockage de la chaleur au sable et contribuerait à baisser le coût moyen actualisé de l’énergie du système dans son ensemble.
En Italie, des scientifiques ont couplé une pompe à chaleur air-air alimentée par l’énergie solaire à un ballon de stockage de l’énergie thermique pour fournir de l’eau chaude sanitaire à un bâtiment résidentiel. Ils affirment que la configuration de ce système de modernisation permet d’atteindre une performance thermique « souhaitable » tout en réduisant la consommation annuelle d’électricité.
https://www.pv-magazine.com/2023/07/18/nrel-develops-bifacial-perovskite-solar-cells-with-93-bifaciality/
Le National Renewable Energy Laboratory (NREL) américain a fabriqué des cellules en pérovskite affichant un coefficient de bifacialité élevé et un rendement de 23 % sur la face avant.
À mesure que l’industrie du photovoltaïque croît pour atteindre une production annuelle de l’ordre du térawatt et ainsi limiter rapidement les émissions mondiales, continuer sur la lancée de la réduction des coûts va devenir de plus en plus difficile. L’augmentation de la production de modules, d’environ 200 GW à 300 GW actuellement, à plusieurs térawatts par an engendrera une hausse considérable de la consommation des ressources dans le secteur. D’après Alison Lennon, directrice scientifique chez Sundrive Solar et professeure à la School of Photovoltaic and Renewable Energy Engineering de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud en Australie, il faut que l’industrie réfléchisse aux matériaux supplémentaires qu’elle devra se procurer.
Un groupe de chercheurs de Chine a évalué les répercussions des systèmes PV flottants sur l’irradiation, les flux énergétiques et les forces motrices sur les lacs dans différentes conditions météorologiques. D’après leurs conclusions, le flux d’échanges thermiques de surface lac pourvu d’un dispositif PV est 1,5 fois supérieur à celui d’un lac naturel.
En Chine, des scientifiques ont proposé d’utiliser du silicium recyclé provenant de cellules solaires usagées pour construire des anodes de batteries. En associant la poudre de silicium recyclé à du graphite, ils ont créé un matériau composite qui, selon eux, afficherait des performances électrochimiques remarquables.
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