Pour la première fois, des scientifiques américains ont appliqué un gradient de bande interdite à une cellule PV au tellurure de cadmium. Il en résulte une amélioration de son rendement et de sa tension de circuit ouvert ainsi qu’une recombinaison non radiative plus basse.
La société française de physique (SFP) a remis le prix Jean Ricard à Jacky Even pour ses contributions capitales et pionnières à la physique des pérovskites hybrides.
Le projet Ecotrain vise à mettre en place une solution de mobilité multimodale décarbonée basée sur un système de navettes ferroviaires utilisant les rails existants ainsi que sur une flotte de véhicules électriques disposés dans les gares pour les trajets dits du « dernier kilomètre ». Près de 80 acteurs privés et publics se sont réunis pour coordonner le déploiement concret du projet, en vue d’une implémentation en Occitanie d’ici à 2026.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur la manière dont les systèmes photovoltaïques verticaux pourraient être en mesure de fournir davantage d’électricité au réseau en période de forte demande, avec l’avantage d’être mieux intégrés aux activités agricoles que les centrales au sol classiques.
Le développement du photovoltaïque dans les pays aux climats froids comme le Canada et les Etats-Unis pose la question de l’adaptabilité des systèmes à la neige et au givre. Des chercheurs de l’Université de l’Illinois Chicago ont développé des revêtements de protection transparents qui pourraient, selon eux, être appliqués sur les panneaux solaires pour empêcher la formation de givre et de glace.
Des scientifiques américains ont fabriqué une cellule solaire à triple jonction qui a obtenu un rendement de 39,5 %, soit un record mondial pour l’éclairage solaire classique. Bien que le concept repose sur des matériaux et des procédés qui sont encore trop coûteux pour une utilisation commerciale, il pourrait bientôt trouver des applications concrètes dans l’alimentation des satellites et d’autres technologies spatiales.
Rosi Solar a développé une solution industrielle capable de récupérer le silicium de haute pureté, l’argent et le cuivre contenus dans les modules PV en fin de vie. Avec un processus de séparation thermique et chimique avancé, la start-up grenobloise poursuit son développement en R&D et en application commerciale pour redonner de la valeur aux matériaux des modules solaires en Europe et à l’international.
Saule Technologies, société polonaise spécialisée dans la recherche sur les cellules photovoltaïques de nouvelle génération à base de pérovskite, vient d’inaugurer la première usine de cellules PV en pérovskite. Saule Technologies affirme ainsi être la première entreprise au monde à entrer dans la phase de commercialisation de cette technologie.
Des chercheurs norvégiens ont utilisé une approche annuelle, tenant compte de l’effet combiné de la température, de l’humidité et du rayonnement ultraviolet, pour évaluer le taux de dégradation de modules polycristallins ayant un coefficient de température de -0,43 %, montés avec une inclinaison d’environ 10 degrés et situés dans l’est de la Norvège. Ils ont constaté que ces modules se dégradent dans une fourchette de 0,1 à 0,19 % par an, soit 0,4 % de moins que les panneaux fonctionnant sous d’autres climats.
Cette cellule a été fabriquée avec un substrat flexible composé d’oxyde d’indium et d’étain (ITO) et de polyéthylène téréphtalate (PET). Soumis à un test de chaleur humide, le dispositif a montré qu’il pouvait conserver 90% de son rendement initial après 800 heures.
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