La société japonaise Shintora Kosan a mis au point une nouvelle technologie à jet d’eau pour récupérer le verre des modules photovoltaïques en fin de vie. Elle affirme pouvoir pulvériser les cellules solaires et les feuilles de fond sans endommager le verre.
Mibet, un fournisseur chinois de systèmes de montage, a réalisé ce qu’il prétend être la plus grande installation agrivoltaïque du Japon, dans la préfecture de Fukushima.
L’Assemblée métropolitaine de Tokyo a approuvé de nouvelles dispositions visant à rendre les installations solaires obligatoires pour les nouvelles habitations. Les règles s’appliquent aux maisons dont la surface totale du toit est supérieure à 20 mètres carrés et aux bâtiments dont le toit est inférieur à 2 000 mètres carrés.
Le groupe japonais Itochu a annoncé qu’il allait prendre des parts dans la société française Rosi Solar, qui est basée à Grenoble et qui développe une technologie permettant de récupérer et de recycler l’argent, le cuivre et le silicium de haute pureté des modules solaires.
Luxor Solar a mis au point un système orienté au sud adapté aux lourdes charges de neige du Japon. Il est équipé des modules solaires à hétérojonction de l’entreprise ainsi que des solutions de montage provenant de l’Allemand Next2Sun et des onduleurs fabriqués par le Japonais Omron.
Des scientifiques japonais ont décrit toutes les étapes à suivre pour améliorer le rendement moyen des modules solaires CIGS, d’environ 18,5 % actuellement à plus de 20 %. Ils ont passé en revue tous les facteurs techniques clés qui entravent aujourd’hui l’adoption plus large de cette technologie sur le marché.
L’investisseur institutionnel a annoncé avoir signé un emprunt obligataire au profit du développeur singapourien Vena Energy pour une centrale photovoltaïque de 35 MW située dans la préfecture de Fukushima.
La nouvelle gamme de modules affiche une puissance de sortie comprise entre 420 et 430 W, un coefficient de température de -0,26 % par degré Celsius et un rendement allant jusqu’à 22,2 %.
Des chercheurs japonais ont mis au point des systèmes photovoltaïques ultra-souples et des composants électroniques ultrafins pouvant être fixés sur l’abdomen incurvé de blattes sans entraver leur mobilité. Ce dispositif permet d’observer des endroits dangereux ou de mener des opérations de recherche et de secours.
Le système serait capable de fournir le plein en hydrogène à environ huit véhicules à pile à combustible, chacun en trois minutes. Il peut également produire de l’électricité à partir de l’hydrogène obtenu sur place à partir des énergies renouvelables de la station.
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