La PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) révisée – dont l’adoption finale devrait intervenir dans les prochaines semaines – prévoit l’augmentation par 5 à 6 des capacités de production d’électricité solaire installées sur les toits d’ici à 2028. La loi Énergie-Climat, qui va entrer en vigueur d’ici la fin novembre apporte des premières avancées pour faciliter le développement du photovoltaïque au-dessus de nos têtes. Mais la simplification des mesures d’urbanisme pour les ombrières de parking et l’imposition d’une couverture de 30 % de la surface des nouvelles toitures commerciales par une installation d’énergie renouvelable ne seront pas suffisantes, loin s’en faut !
Les législateurs français adoptent le projet de loi Énergie-Climat qui prévoit une baisse de 40 % de la consommation d’énergies fossiles d’ici 2030 et la neutralité carbone à l’horizon 2050. La filière photovoltaïque estime que les mesures qui y sont établies pour faciliter l’adoption de l’énergie solaire sont favorables mais demeurent insuffisantes en vue de l’objectif fixé.
L’Alliance nationale de coordination de la recherche pour l’énergie (Ancre) a défini son nouveau plan d’action, qui se base sur des projets transversaux. Ancre a également désigné son nouveau président, Mohammed Benlahsen, le président de l’Université de Picardie Jules Verne depuis 2016.
Constatant que le développement du système électrique en France métropolitaine est encore limité, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) publie un document présentant ses réflexions et propositions aux acteurs du marché pour faciliter le déploiement du stockage de l’électricité.
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