L’Institut Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire (Fraunhofer ISE), en Allemagne, a mené de nouvelles recherches sur l’impact des installations photovoltaïques flottantes (PV flottants) sur la température de l’eau et l’évaporation.
Des scientifiques en Chine ont placé une feuille d’aluminium de 0,5 mm d’épaisseur entre la cellule solaire et l’EVA, ainsi qu’entre l’EVA et la couche de verre. Les deux modules expérimentaux ont été comparés à un module de référence et ont montré qu’ils dissipaient la chaleur et augmentaient l’uniformité de la répartition de la température.
Au Japon, des chercheurs ont étudié l’effet de réchauffement des installations photovoltaïques sur la température de la surface du sol dans le bassin versant de la rivière Kushida sur 10 ans. Ils ont observé une augmentation moyenne de cette valeur de 2,85 °C.
Les algorithmes intégrés dans la plateforme calculent en temps réel les grandeurs d’évapotranspiration, d’ombrage au sol et l’indice d’ambiance biothermique. Ils permettent de générer des alertes de maintenance et peuvent être agrégés et analysés pour une meilleure compréhension du micro-climat propre aux projets agrivoltaïques.
Non, les panneaux photovoltaïques flottants bifaciaux ne bénéficient pas de manière significative de la lumière du soleil réfléchie par l’eau et le contact avec cette dernière n’abaisse que très légèrement leur température. Telles sont les affirmations d’une étude de l’Université technique de Delft qui s’est penchée sur les conditions de mise en œuvre du PV flottant pour qu’il atteigne un LCOE proche de celui des centrales au sol.
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