Selon un rapport de DNV GL, la mer du Nord pourrait accueillir environ 100 MW de capacité solaire flottante d’ici 2030 et 500 MW d’ici 2035. Le LCOE des systèmes photovoltaïques offshore est actuellement estimé à environ 354 € / MWh mais à l’avenir il devrait être proche de celle des parcs solaires au sol.
Des scientifiques allemands ont étudié les procédés d’impression des cellules solaires en pérovskite, et ont tiré d’importantes conclusions concernant le développement d’encres adaptées pour former la structure de pérovskite.
Des scientifiques portugais ont proposé un nouvel outil pour simuler des installation PV dans des conditions d’inadéquation, notamment au niveau des cellules. Selon eux, cet outil est particulièrement adapté aux simulations de systèmes PV avec peu de chaînes de modules.
Des chercheurs britanniques ont développé une méthode pour optimiser les choix d’aménagement des toits urbains, entre la production d’électricité photovoltaïque ou les systèmes de production agricole installés en toitures-terrasses.
L’entreprise néerlandaise Floating Solar a testé pendant trois ans ses systèmes flottants dans le port de Rotterdam. Elle affirme que son projet pilote de photovoltaïque flottant a pu résister à quatre violentes tempêtes.
Une équipe de recherche anglo-allemande affirme que les technologies PV organiques peuvent devenir suffisamment matures pour concurrencer les produits à base de silicium cristallin et de couches minces non seulement dans l’intégré au bâti, mais aussi dans les parcs solaires à grande échelle. Pour y parvenir, les produits PV organiques devront cependant atteindre des rendements plus élevés.
Des scientifiques sud-coréens ont développé une cellule pérovskite avec une efficacité de conversion de 24,4 %. Ils prétendent qu’elle maintient plus de 80 % de son efficacité initiale après 1300 heures dans l’obscurité à 85 °C.
Une équipe de recherche américano-finlandaise a développé une méthode permettant d’adapter les panneaux solaires souples à couche mince, déjà disponibles sur le marché, à des projets de PV flottants. Les panneaux peuvent être posés sur trois types de matériaux : le néoprène, le Mincell et le polyéthylène.
L’année prochaine, la demande mondiale de modules solaires pourrait augmenter d’environ 15 %. Cette croissance est principalement due à l’achèvement des projets photovoltaïques qui ont été reportés en raison de la pandémie cette année.
Une étude canadienne a évalué la faisabilité géologique du stockage souterrain saisonnier d’hydrogène à grande échelle et a révèle que le bassin sédimentaire de l’Ouest canadien et le sud de l’Ontario sont les zones les plus appropriées pour cette technologie.
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