Le marché vise la réalisation d’une centrale de 2 MWc sur les toitures de la base de logistique de Biocoop à Tinténiac. Il se compose de trois lots : fourniture de modules photovoltaïques, installation en toiture et travaux haute-tension et raccordement de la centrale.
Coordonné par l’institut lyonnais SuperGrid Institute, l’un des lots de travaux doit faire la démonstration de la viabilité de l’intégration des batteries stationnaires Nickel-Zinc dans le stockage des énergies renouvelables et dans les bâtiments intelligents. Il a été officiellement lancé le 19 janvier pour une durée de 39 mois.
Les deux partenaires favoriseront ainsi le développement de la centrale photovoltaïque Francisco Pizarro, d’une puissance installée de 590 MWc, dont la mise en service est prévue pour 2022.
Les systèmes solaires conventionnels sont généralement conçus et exploités pour produire à chaque instant un maximum d’électricité. Mais lorsque l’énergie solaire est employée à grande échelle, il devient nécessaire qu’elle contribue à la flexibilité du réseau nécessaire au maintien de l’équilibre offre-demande. La combinaison du photovoltaïque avec du stockage permet de contrôler l’énergie fournie au réseau, rendant le solaire distribuable. Quelles sont les bonnes pratiques concernant le contrôle de ces centrales et l’utilisation de prévisions dans ce contexte ?
L’entreprise spécialisée en développement, ingénierie, construction, financement et exploitation de centrales photovoltaïques a remporté ses projets dans les familles 1 et 2 (installations au sol et toiture & agrivoltaïsme).
Le financement de l’EU funding for Africa est attribué via le fonds Electrification Financing Initiative (ElectriFI) qui les répartira entre trois fournisseurs de solutions solaires : la compagnie tanzanienne Simusolar et les deux Français Sunkofa et MyJouleBox.
Ce nouveau service, que l’entreprise veut lancer début 2021, sera notamment dédié aux agriculteurs qui voient leurs consommations électriques augmenter en raison d’exploitations de plus en plus robotisées et automatisées.
Les deux centrales qui totalisent une capacité de 44,2 MWc contribuent à l’objectif du gouvernement malais de produire 24 % de ses besoins énergétiques à partir de sources renouvelables d’ici 2050.
La fondation Solar Impulse promeut ainsi une « solution respectueuse de l’environnement, qui a pour objectif de remplacer des groupes électrogènes diesel par une solution basée sur de l’hydrogène vert, local et produit à partir d’énergie renouvelable », développée par Bouygues Energies & Services et PowiDian.
Selon le producteur et développeur de solutions photovoltaïques clés en main, il s’agit de la plus grande centrale de ce type sur l’île. Au total, l’entreprise entend poursuivre sa croissance, en pourvoyant 15 nouveaux postes pour répondre à la demande, dans l’objectif d’atteindre 1 GWc d’ici début 2025.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.