Aux États-Unis, Mitsubishi Power Americas et Magnum Development vont lancer la construction d’une installation de stockage souterraine d’une capacité de 300 GWh dans l’État de l’Utah. Celle-ci consistera en deux cavités pouvant stocker 150 GWh chacune, où sera stocké l’hydrogène généré par une centrale à turbine à gaz à cycle combiné capable de fonctionner à l’hydrogène, d’une capacité de 840 MW et attenante à l’installation.
Un scientifique espagnol a mis au point un système qui serait en mesure de produire de l’hydrogène directement sur site sans recourir à l’électrolyse, coûteuse. Le prototype fonctionne avec un réservoir rempli d’eau, de ferrosilicium et d’hydroxyde de sodium.
Le système serait capable de fournir le plein en hydrogène à environ huit véhicules à pile à combustible, chacun en trois minutes. Il peut également produire de l’électricité à partir de l’hydrogène obtenu sur place à partir des énergies renouvelables de la station.
Le Climate Pledge Fund du géant du commerce en ligne, doté de 2 milliards de dollars, a annoncé avoir investi dans deux nouvelles entreprises, Electric Hydrogen et Sunfire, qui développent des électrolyseurs, une technologie indispensable dans la production d’hydrogène vert.
Toyota a également dévoilé son intention de lancer des camions légers à pile à hydrogène sur le marché japonais l’année prochaine, et le Royaume-Uni a lancé un système de contrat sur différence pour les projets d’hydrogène à grande échelle. Par ailleurs, des scientifiques japonais ont conçu un complexe de ruthénium avec un composé organique contenant de l’azote pour améliorer la conduction des protons à haute température dans les piles à combustible.
La Commission européenne a autorisé un soutien public pouvant aller jusqu’à 5,4 milliards d’euros octroyé par quinze États membres pour un projet important d’intérêt européen commun (IPCEI) dans la chaîne de valeur de la technologie de l’hydrogène. 8,8 milliards d’euros supplémentaires d’investissements privés pourront être également mobilisés. 41 projets proposés par 35 entreprises, dont 10 françaises, ont été retenus.
Avec 550 000 m² d’entrepôts, jusqu’à 85000 m² de zone de services et 300 000 m² de réserves foncières, la plateforme d’e-logistique implantée à Cambrai se voit comme un hub premium en Europe et a signé une convention de partenariat avec Engie qui se chargera du déploiement d’un ensemble de solutions de décarbonation.
Lors de sa dernière session, les élus ont présenté un projet de création d’une société d’économie mixte départementale. Cette structure pourra porter directement certains projets ou participer financièrement à des sociétés de projet dédiées. Le département y contribuera à hauteur de 8,5 M€.
La réalisation du parc photovoltaïque de 40 MWc et des batteries lithium-ion a été confiée à BayWa r.e.. De son côté, le spécialiste de l’hydrogène renouvelable Lhyfe se chargera de l’électrolyseur et de trouver des débouchés pour la commercialisation de l’hydrogène dans un rayon de 100 à 150 km auprès des acteurs industriels et de la mobilité.
Des chercheurs européens ont mis au point un outil en ligne à code source ouvert qui permet d’identifier les zones où les énergies renouvelables et les carburants de synthèse peuvent être produits de manière rentable, où des plateformes d’hydrogène pourraient être construites et où l’expansion du réseau est nécessaire. Cet outil peut être utilisé dans différents secteurs dans 35 pays.
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