Chine

Longi a annoncé l’obtention d’un rendement de 27,09 % pour sa cellule solaire à hétérojonction à contact arrière (HBC), un résultat qui a été confirmé par l’Institut allemand de recherche sur l’énergie solaire (ISFH).

L’entreprise proposera en particulier en France sa série Orion Serie III, avec un panneau monocristallin de type n à 108 cellules avec une puissance allant jusqu’à 455 Wc, et sa nouvelle génération de panneaux, Prismax, qui promet un rendement de 29 %.

L’Administration nationale de l’énergie de Chine (NEA) indique que la capacité des énergies renouvelables du pays comprend 536 GW d’énergie photovoltaïque, 420 GW d’hydroélectricité, 404 GW d’énergie éolienne et 44 GW de biomasse.

Tim Buckley, directeur de Climate Energy Finance, parle au magazine pv de la trajectoire actuelle des prix des modules solaires. Il estime que les prix des panneaux photovoltaïques finiront par chuter de 40 % cette année et prédit l’arrêt des anciennes technologies et la fermeture des petites usines de production, tant en Chine que dans le reste du monde.

Des chercheurs chinois ont construit un prototype de système agrivoltaïque à concentrateur à division spectrale (SCAPV) avec un rendement photovoltaïque de 9,9 %, un rendement d’utilisation de la lumière hybride de 9,05 % et un coût de l’énergie nivelé (LCOE) de 0,030 €/kWh.

D’après les prévisions de Wood Mackenzie, la Chine détiendra plus de 80 % des capacités de production de polysilicium, de plaquettes, de cellules et de modules pendant les trois prochaines années.

Le fabricant chinois produit un nouveau panneau monocristallin bifacial dans son usine de Sao Paulo, au Brésil. Le module a une puissance de sortie de 355 W et un rendement de conversion de 16,33 %.

L’information a été confirmée par le Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) du ministère américain de l’énergie. Le précédent record de 33,7 % était détenu par l’université saoudienne King Abdullah University of Science and Technology (KAUST).

Des scientifiques ont construit le dispositif en déposant de multiples nanofilms métalliques sur les deux faces à l’aide d’un dépôt chimique en phase vapeur assisté par plasma. La cellule a atteint une tension en circuit ouvert de 684 mV, une densité de courant en court-circuit de 38,2 mA/cm2 et un facteur de remplissage de 80,8 %.

Une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a mis au point un système d’évaporateurs et de condenseurs à plusieurs étages. Ce système permet un dessalement solaire rentable, rendant pour la première fois l’eau potable produite par l’énergie solaire moins chère que l’eau du robinet.