L’Agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et le développement économique durable (Enea) est en cours de création d’une carte en ligne permettant d’identifier les sites appropriés pour l’agrivoltaïque. Cette carte, basée sur des indicateurs de paysage, fournira des informations qualitatives et quantitatives pour faciliter la sélection des sites appropriés pour l’intégration de l’agriculture et de l’énergie solaire.
L’électricité proviendra de deux centrales photovoltaïques de TSE, l’une dans la Meuse pour 77 MWc et l’autre dans le Nord d’une puissance installée de 18 MWc. Elles fourniront l’équivalent de la consommation d’une centaine de points de vente Mousquetaires. Sous l’impulsion de l’augmentation des prix de l’électricité, on assiste aujourd’hui à une multiplication des PPA signés avec des acteurs de la grande distribution.
Pour contribuer à la stabilité du réseau électrique de l’île, la centrale photovoltaïque de 7,7 MWc implantée sur les délaissés de l’aéroport de Pierrefonds est assortie d’une unité de stockage par batteries de 10 MWh.
Des scientifiques espagnols ont mis au point un outil permettant d’optimiser la production conjointe d’énergie éolienne et solaire. Il combine des données, des modèles de rayonnement solaire et des vitesses de vent au fil du temps dans des régions spécifiques d’Europe.
L’entreprise GLHD développe de très grandes fermes agrivoltaïques en association avec des collectifs d’agriculteurs. Un modèle basé, selon elle, sur les économies d’échelle qui permettent de produire une électricité verte à moindre coût et de soutenir la création d’un écosystème agricole autour des projets.
Visant la mise en service de nouveaux projets associant bénéfices agricoles et production d’électricité verte, les deux acteurs mettront en commun leurs expertises pour proposer une offre intégrée pour des cultures fruitières, maraîchères et viticoles.
Le groupe a inauguré une centrale solaire de 5 MWc raccordée sur un même poste source que le parc éolien voisin de Saint Macoux (24 MW). Grâce au pilotage des deux installations qui communiquent en temps réel, il sera possible d’injecter un maximum de production dans les réseaux sans avoir à augmenter la taille des ouvrages.
Des scientifiques britanniques ont étudié la durabilité et les performances de tous les revêtements antireflets pour modules solaires et ont déclaré que des travaux supplémentaires étaient nécessaires pour améliorer les normes industrielles. Leur étude porte sur les techniques monocouches et multicouches et donne un aperçu de leur coût et de leur viabilité.
L’opération, réalisée auprès de La Banque Postale et de BPI France repose sur un portefeuille de 350 projets photovoltaïques en toiture et ombrières de parking en opération, situés dans quatre pays européens. L’entreprise, filiale de Voltalia, aura aussi la possibilité d’ajouter de nouveaux projets au périmètre de financement au fur et à mesure de leur mise en service.
Le gouvernement néerlandais a déclaré qu’il soutiendrait les usines solaires qui produiront des panneaux respectant l’approche de l’économie circulaire. Il a également alloué 296 millions d’euros pour soutenir la fabrication de batteries.
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