Lauréat de l’appel d’offres de la CRE en 2021, le projet d’Engie Green consiste en un parc solaire de 9342 panneaux déployés sur un terrain en friche de la commune de Martignas sur Jalle, à l’ouest de la métropole bordelaise.
L’installation présente une puissance de 20 MWc grâce à 50 000 panneaux implantés sur 15 hectares de parking sur le site du siège social français du groupe automobile à Villers-Cotterêts (Aisne).
Situées en Nouvelle-Aquitaine, les installations photovoltaïques couvrent 13,5 hectares au total et sont mises à disposition de l’entreprise de transport et de logistique automobile DVTA, une filiale du groupe 2L LOGISTICS, qui utilisera cet espace en tant que parking et zone de logistique.
L’installation a été développée selon les critères du label TED (pour Transition Energétique Durable) de Engie Green, qui comprend neuf engagements concrets sur trois thématiques-clés : territoires, nature, climat.
Le parc de 18 hectares abrite notamment un élevage ovin et une trentaine de ruches, exploitées par des travailleurs en situation de handicap, ont été installées aux abords de la centrale.
La mise en service du parc de 22,2 MWc équipé de 41 472 modules, est prévue en août 2022. La Société d’Economie Mixte Vialis et Engie Green ont également en projet une deuxième centrale au sol de 11,5 MWc.
Les partenaires se concentreront sur le développement de projets solaires et éoliens sur des friches industrielles. Le premier projet concerne une centrale solaire au sol sur une superficie projetée de 15 hectares.
Une surface d’environ 150 000 m2 sera recouverte par des ombrières photovoltaïques afin de protéger les stocks de produits du bâtiment en béton d’Alkern, sur une sélection de ses sites en France.
D’ici l’été 2022, la commune de Volgelsheim, dans le Haut-Rhin va accueillir une centrale solaire au sol de 22 MW réalisée par Engie Green.
Situé dans le Puy de Dôme, le parc Camelia d’une puissance de 100 kWc est conçu pour s’adapter à une activité agricole, tout en ayant une empreinte au sol minimale. L’objectif de cette expérimentation d’une durée de cinq ans est d’étudier l’impact de l’installation de panneaux solaires bifaciaux verticaux sur un pâturage et sur la production électrique
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